Jeux africains de Brazzaville : le Congo plébiscité par ses visiteurs

Linda  Loghraibi, pongiste algérienne : « C’était un honneur de participer aux Jeux africains parce que ce sont mes premiers jeux. C’était très bien ici au Congo. Nous avons fait une bonne compétition. Les Congolais sont bien accueillants. Ils sont gentils. Nous étions très bien logés, bien nourris. Tout était bien organisé. On ne s’attendait pas à ça.»

Kkeireddine, athlète algérien de handi sport :  « On n’imaginait pas que le Congo allait nous présenter ces infrastructures. L’organisation c’est bon. Il y a eu des petits couacs mais c’est bon dans l’ensemble. Nous étions aussi séduits par l’accueil. On nous a vraiment bien nourris.»

Essam Anne Michelle, capitaine de l’équipe de handball du Cameroun :  « C’est une première en Afrique. Ma toute première compétition c’était en Algérie après je suis allée au Mozambique mais ici les infrastructures, c’est une première. Je n’ai jamais vu ça. Ces jeux ont été vraiment une réussite à mon avis. Grand bravo au Congo.»

Julie Touly, capitaine de l’équipe de la Côte d’Ivoire de handball : « Ce que je retiens de positif dans l’organisation, ce sont les véhicules que le pays organisateur a mis à la disposition des athlètes au niveau du village des jeux pour leur permettre de venir se restaurer  sans trop de difficultés. L’organisation dans l’ensemble a été une réussite. Les infrastructures sont impeccables. Dans les autres pays, il y a des infrastructures mais elles sont dispatchées dans les villes. Mais ici sur le même site avoir plusieurs infrastructures c’est remarquable. C’est vraiment à féliciter. Il faut dire que c’est bien. L’architecture du palais des  sports, le stade et le Complexe nautique. Tout est bien et j’apprécie fortement. »

 Marius Ouoba, entraîneur de Pétanque du Burkina Faso : « Sur le plan de l’organisation, rien à reprocher au Congo. Avec ce nombre d’athlètes que le Congo a accueillis, on ne pouvait  pas faire mieux. Nul n’est parfait. Mais  le Congo a fait le maximum.  La compétition s’est déroulée dans de meilleures infrastructures. En Afrique, on peut compter les pays qui ont les mêmes structures du bout des doigts. C’est très bien. C’est extraordinaire comme infrastructures.»

Ibrahima Dioup,  karatéka burkinabé : « En ce qui concerne les infrastructures, je trouve que cela a été vraiment des innovations parce que les complexes que nous avons trouvés ici sont vraiment modernes. La conception a été très adaptée aussi. Par rapport aux  personnes vivant avec un handicap, cela m’a  fait plaisir qu’elles ont été prises en compte dans la construction.  Pour ce qui est de l’organisation, le Congo s’en en bien sorti.»

Tchalim Essohouna Mondom, athlète togolais. « Le Congo a réussi son organisation. Les infrastructures  qu’il a mises à la disposition des sportifs africains sont à hauteur d’un grand évènement comme les Jeux africains. Mais comme l’œuvre humaine n’est pas parfaite, nous avons décelé quelques failles, notamment en ce qui concerne le programme des compétitions.»

Abdoulaye Aziz Derra, entraîneur de Judo du Mali : « Je pense que  les infrastructures que le Congo a mises à notre disposition ont été très superbes, sublimes même il faut le dire. Je félicite monsieur le président de la République.  Si tous les présidents pouvaient faire comme lui, l’Afrique va produire des meilleurs sportifs. C’est sûr que les sites que nous avons déjà visités, que ça soit ici à Kintélé ou dans la ville, je suis impressionné. L’accueil est fantastique. On dirait que le peuple congolais était préparé pour nous réserver un meilleur accueil »

 Boubacar Cissokho, joueur de football du Sénégal : « Les infrastructures sont fantastiques. C’est ça le développement en Afrique. Il faut que d’autres pays  aussi s’inspirent de l’organisation congolaise. Le football se développe avec les infrastructures. Tant qu’il n’y a pas d’infrastructures, le football ne va pas se développer en Afrique. Je suis sûr qu’après les Jeux africains, le football congolais va à coup  se développer davantage.»

Djomo La Mascotte, supporteur camerounais : « Je suis parti de mon pays par véhicule jusqu’à Brazzaville en passant par Ouesso pour ne pas manquer ce grand rendez-vous. Je me souviens que le Congo avait été désigné pour abriter les Jeux africains. Toutes ces infrastructures n’étaient pas construites. Au bout de deux ans, tout ceci a été érigé. Je tiens à féliciter le président Sassou N’Guesso pour ce travail qui fait la fierté de la sous-région d’Afrique centrale. Je crois que prochainement je reviendrai ici à Brazzaville pour suivre une autre compétition internationale de grande envergure.»