Référendum constitutionnel : L’UPADS dénonce "un passage en force"

Samedi 31 Octobre 2015 - 16:36

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Dans une déclaration publiée le 31 Octobre à Brazzaville, lue par le  premier secrétaire de ce parti, Pascal Tsaty- Mabiala, l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS) a dénoncé le « passage en force »  dont a usé le pouvoir le 25 octobre, en organisant le référendum constitutionnel.

Pour ce parti, « le clientélisme », « le népotisme », « l’intimidation », "l’achat de conscience", etc., sont des procédés déterminants utilisés pour cette « mascarade » électorale. D’après ce parti, "les délégués de la CONEL et les membres des bureaux de vote, lassés d’attendre les électeurs ont résolu de bourrer les urnes et de communiquer des résultats totalement fantaisistes".

En réalité,  a affirmé le premier secrétaire de l’UPADS, le taux de participation était inférieur à 10 % au point que, conscient de la donne, le gouvernement a dû prendre des dispositions particulières. Preuve : le déploiement de la force publique sur l’ensemble du territoire avant et surtout au moment de publier les résultats.

L'Upads note et informe la population congolaise ainsi que les obervateurs étrangers que le « passage en force », « la tricherie »  et la « manipulation »  sont les moyens habituels dont use régulièrement le PCT.

 

 

Jean Jacques Koubemba

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