Fonds Bleu pour le bassin du Congo : de nouveaux termes de référence

Les termes de référence ont été adoptés en tenant compte de la nécessité de valoriser l’expertise des ressortissants des pays de la commission climat du Bassin du Congo et des objectifs du Fonds bleu. En ce qui concerne l’étude, les participants ont proposé de la scinder en deux lots dont le premier portant sur le plan d’investissement et le second sur le véhicule financier.

La grille d’évaluation des offres a également été adoptée à la lumière des critères standards d’évaluation des appels d’offres du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud). Ainsi, les participants ont invité cette institution onusienne à finaliser le dossier d’appels d’offres en tenant compte des amendements apportés dans les termes de référence et la grille d’évaluation.

Les participants ont recommandé de formaliser le comité ad hoc régional ; d’associer à tous les niveaux du processus de recrutement d’un bureau d’études en qualité d’évaluateurs les représentants de la commission climat du Bassin du Congo et du 4 C Maroc ainsi que les représentants des communautés régionales (CEEAC, Comifac, CAE).

Ils ont félicité  la  ministre  congolaise du Tourisme et de l’environnement, coordonnatrice technique de la commission climat du bassin du Congo, ainsi que le Pnud Maroc pour la réussite de cette session, tout en exprimant leur gratitude au gouvernement et au peuple congolais de l’accueil chaleureux qui leur a été réservé.

Les travaux de la deuxième réunion du comité ad hoc régional du Fonds bleu pour le Bassin du Congo ont été organisés par le ministère du Tourisme et de l’environnement de la République du Congo qui assure la coordination technique de cette commission, avec l’appui du Centre de compétence pour les changements climatiques 4C Maroc et du Pnud Maroc.

Cette  rencontre a connu la participation  des points focaux du Fonds bleu pour le Bassin du Congo des différents pays d’Afrique, notamment l’Angola, le Cameroun, le Congo, la Guinée équatoriale, le Maroc, l’Ouganda,  la République Centrafricaine, la République démocratique du Congo, le Rwanda, Sao Tomé & Principe et le Tchad  ainsi que des experts de la Commission de l’Union africaine, du secrétariat général de la CEEAC, du Centre de compétence sur les changements climatique 4C du Maroc, du secrétariat exécutif de la Commission des forêts d’Afrique  centrale et des organisations sous- régionales et nationales, le réseau des communicateurs pour l’environnement et l’information en Afrique centrale, réseau des objectifs de développement durable d’Afrique centrale de la société civile.