Art-Culture-Média
La 11e édition du festival international des musiques et des arts N’Sangu Ndji Ndji a été ouverte le 3 juin à l’Institut français du Congo à Pointe-Noire, en présence de Roland Bouiti-Viaudo, député-maire de la ville et de plusieurs autres autorités.
Après dix éditions et en dépit de la conjoncture mondiale actuelle peu clémente, la onzième édition marque la capitalisation d’une entreprise forte de ses dix ans d’expérience au service des artistes et du public. Ainsi, cette édition entre dans le nouveau cycle de la constitution du festival N’Sangu Ndji Ndji en association indépendante, dotée d’une personnalité morale, sortie de son géniteur l’Espace culturel Yaro dont il est le projet le plus important.
Au fil des années, le festival N’Sangu Ndji Ndji ou la fête de Pointe-Noire a su tisser un partenariat fécond avec plusieurs acteurs et ... Lire la suite
Au cours des deux séries de projection programmées les 4 et 5 juin à 14h00 à la Halle de la Gombe, le jury présidé par Michée Sunzu va procéder à la sélection des meilleures réalisations dans les catégories documentaires et fictions ainsi que pour la meilleure actrice.
Six films au total sont en lice dans les catégories documentaire et fiction à raison de trois pour chacune en cette deuxième édition du festival Cinéma au féminin (Cinef). La première met en compétition Quand la féminité est un masque, Harmonica et Viper, des réalisations respectives de la Lushoise Carolle Maloba ainsi que des Kinoises Anny Tshonga et Déborah Basa. Les trois films ont constitué le gros de la programmation de la matinée « Projection spéciale réalisatrices congolaises » que le Centre Wallonie-Bruxelles a abritée le 3 juin entre 11h et 13h.
Quand la féminité est un masque ... Lire la suite
Le concours est organisé par Agility , l'un des principaux fournisseurs de services de logistique intégrée afin de mettre en lumière les succès de l'Afrique émergente et de refléter ses progrès croissants.
Les participants au concours pourront présenter leurs photos dans trois catégories : villes, industrie et technologie. Le concours est ouvert aux photographes amateurs et professionnels. Il se déroulera du 1er juin au 1er septembre 2015. Agility remettra un prix en espèces de 2 000 USD au lauréat de chaque catégorie ainsi qu'un grand prix en espèces de 4 000 USD à l’auteur de la photographie qui capturera le mieux le développement et la croissance de l'Afrique. Les photos récompensées seront diffusées sur la chaîne CNBC Africa et publiées dans Forbes Africa.
Photographier une Afrique en plein essor
Le concours, indique-t-on, vise à mettre en évidence ... Lire la suite
L’association Congo culture à venir que préside Eddy Ngombe est impliquée dans la réalisation, depuis le mois de janvier 2015, d’un album hommage à l’artiste musicien Jacques Loubelo. Ce grand chanteur congolais disparu en septembre 2013, chantre de la paix et de l’unité nationale, a laissé en héritage un répertoire dense et surtout une chanson chargée de symbole : Congo.
« A l’occasion du deuxième anniversaire de sa mort, nous avons donc souhaité transmettre à toutes les générations et à toutes les couches sociales, la valeur et la profondeur de ce chef d’œuvre national. Cette action associative est notre modeste pierre à l’édifice de paix et de cohésion sociale ». A justifié Eddy Ngombe.
Pour ce faire, grâce à Jackson Babingui et Francky Mouler, plus d’une trentaine de musiciens résidant au Congo et à l’étranger ont été réunis sur ... Lire la suite
La galeriste Aude Minart, amoureuse de l’Art africain, à qui l’on doit déjà plusieurs expositions dans sa galerie de Paris 12ème, fera découvrir aux visiteurs, hors les murs, lors des Journées d’amitié des Spiritains au 30, rue de Lhomond, du 6 au 7 mai, ses œuvres des peintres subsahariens. Une occasion supplémentaire de montrer au public parisien, « ce qui se passe actuellement en Afrique dans l’art contemporain », aime-t-elle justifier.
Comme chaque année, les spiritains organisent leurs journées annuelles d’amitié à Paris. L’objectif est de soutenir financièrement les membres de la congrégation, lesquels doivent faire face à de lourds et coûteux soins de santé. Les missionnaires paient parfois le prix fort d’un engagement total au service des autres. « C’est aussi un moment précieux de convivialité avec tous nos amis et ceux qui nous ... Lire la suite
Sociétaire du groupe Biya Lukoyi, Armel Malonga bassiste a entamé depuis deux ans une longue tournée artistique avec les artistes Dieudonné Niangouna et le chorégraphe Delavallet Bidiefono. Fort de cette expérience il a animé à Brazzaville un atelier afin de partager les pratiques de cet instrument avec les instrumentistes Brazzavillois.
L’atelier de guitare basse intitulé mbongui musical était fondé sur l’analyse du rythme, l’harmonisation et les difficultés que rencontre chaque musicien dans son quotidien. « J’ai écrit des morceaux par rapport à l’univers d’un metteur en scène surtout le côté contemporain et créativité. J’ai des avantages du point de vue de la richesse traditionnelle car j’ai été percussionniste et j'ai joué dans beaucoup de groupes traditionnels comme vocal bantou. Cette basse mélangée au bagage jazz m’a vraiment ... Lire la suite
Les correspondances de l’explorateur Pierre Savorgnan de Brazza ne cessent d’attirer l’admiration de tous. Après l’inauguration de l’exposition de ces correspondances, le 6 mars 2015 par le chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, et la Journée scientifique consacrée à ses écrits le 16 mai 2015, le tour est revenu le 2 juin 2015 à la reine Ngalifourou de scruter ces correspondances dans toute leur authenticité.
Accompagnée de quelques dignitaires de la Cour royale, la reine Ngalifourou a été reçue au perron du Mémorial Pierre Savorgnan de Brazza par la directrice générale de cet espace, Bélinda Ayessa, avant de visiter les correspondances de l’explorateur qui sont en réalité des pièces précieuses de l’histoire du Congo. D'après Bélinda, nous devons cette histoire à deux grands personnages : Makoko Ilôoh 1er et à Pierre Savorgnan de Brazza.
Pierre ... Lire la suite
La cérémonie de présentation de l'ouvrage a eu lieu la semaine dernière lors du jeudi littéraire initié par l’Institut français du Congo.
L'oeuvre a été publiée par la maison d’édition « Mon petit éditeur » située en France. Phénoménal s et Brazza s’embrassa est un roman policier qui évoque l’amour fraternel. Il compte 363 pages et est subdivisé en trois parties. L’histoire qui s’y trouve se déroule entre deux villes, Kinshasa et Brazzaville. Il s’agit en effet de Serge, un agent de la police secrète qui reçoit l’ordre d’aller libérer un homme politique important qui a été enlevé. Serge quitte Kinshasa pour Brazzaville afin de retrouver le captif et le libérer. Arrivée sur le lieu, le héros découvre que sa propre sœur fait aussi partie de cette intrigue. Il ... Lire la suite
Le marché du film congolais inauguré, le 2 juin, en fin de matinée à la Place commerciale de la 7e rue à Limete et la rencontre qui réunira diffuseurs, producteurs, réalisateurs et acteurs le 3 juin à l’Institut français (IF) affichent clairement l’ambition du festival de contribuer à organiser le secteur.
Comme dit à l’occasion de la conférence du 27 mai en annonce de la tenue de sa deuxième édition, le festival du Cinéma au féminin (Cinef) organise « Le Marché du film congolais ». L’initiative est une grande première dans le monde du cinéma congolais en très grande ébullition depuis quelques années déjà. Inauguré par le bourgmestre de la commune de Limete, la portion du terrain de la place commerciale de la 7e rue qui lui sert de cadre tient lieu de quartier général au festival. En effet, à partir du 3 juin jusqu’à la veille de la ... Lire la suite
Le dernier chapitre de l’ouvrage présenté, le 29 mai, à l’hôtel Pullman (ex-Grand Hôtel) lance une sorte de « cri d’alarme » sur la situation de la capitale qu’il présente dans les détails avec, à l’appui, le nombre d’avenues et de parcelles qui la composent.
Un grand bien a été dit de l’ouvrage de Bienvenu Bolia vendredi dernier lors de la cérémonie tenue en présence de la première personnalité de la ville, en l’occurrence le gouverneur André Kimbuta. Effeuillé de la préface à la dernière page, la nouvelle publication de L’Harmattan est déjà tenue en estime par le père Léon de Saint Moulin. « Le grand historien de la ville » qui a préfacé Kinshasa ma ville, ma capitale a, à l’occasion de sa présentation, rendu un « hommage à l’auteur mais aussi à ceux qui s’emploient à en gérer les communes ». Lu en intégralité ... Lire la suite