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Jeudi 22 Février 2024 - 20:28

Après Yaya Diomande en 2021, Fann Attiki en 2022, Ernis en 2023, c’est finalement le jeune ivoirien Nincemon Fallé qui a été sacré prix Voix d’Afriques 2024 pour son roman « Ces soleils ardents ».

Né à l'Est de la Côte d'Ivoire et grandi entre Bondoukou, Abidjan, Aboisso et Daloa, Nincemon Fallé, 22 ans, vit actuellement à Abidjan, dans le quartier de Yopougon. C’est depuis quelques années déjà que le jeune garçon s’était lancé dans l’écriture de son roman alors qu'il travaillait dans une imprimerie. Son œuvre raconte l’histoire de Iro qui a quitté son village pour poursuivre ses études à Abidjan. Avec ses amis Thierry, Malick et Yeo, ils forment une bande joyeuse, ambitieuse, multipliant les petits boulots dans les rues d'Adjamé et les couloirs de la cité universitaire.

De tous, Iro est le plus rêveur et le plus déterminé. Mais son père meurt ... Lire la suite


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Jeudi 22 Février 2024 - 20:30

Dans le cadre de la Journée mondiale de la langue maternelle célébrée cette année sur le thème " L’éducation multilingue est un pilier de l’apprentissage intergénérationnel", l’Institut français du Congo( IFC) et le Centre international de recherche sur la civilisation kongo ont organisé, le 21 février à Brazzaville, une soirée culturelle dans l’objectif de préserver les différentes cultures et les langues qui favorisent la tolérance et le respect des autres.

Les sociétés multilingues et multiculturelles prospèrent grâce à la préservation de leurs langues qui servent de vecteurs aux connaissances   traditionnelles et à l’héritage culturel. Cependant, cette diversité linguistique est de plus en plus menacée et tend à disparaître. Actuellement, 40% de la population mondiale n’a pas accès à l’éducation dans sa langue maternelle. Un chiffre ... Lire la suite


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Jeudi 22 Février 2024 - 20:31

L’humoriste congolais, Weilfar Kaya, basé depuis quelques temps en France, a été sacré Prix du public et Prix du jury lors de la 5e édition du festival « Vaulx mieux en rire » qui s’est tenue le 17 février dans la ville française de Vaulx.

Organisée par Ouhlala Lyon, la cinquième édition du festival « Vaulx mieux en rire » réunissait sur son plateau plusieurs artistes talentueux à l’instar de Dycosh, Kelly Espallargas, Yassine Daoudi, Aymeric Carrez et Lala Sagna de France ; Ethan Lallouz du Maroc ; Weilfar Kaya du Congo. L’objectif étant, en famille ou entre amis, de passer une soirée placée sous le signe du rire avec des talents émergents.

Pour cette édition , c’est avec joie et reconnaissance que l’humoriste congolais s’est vu décerner deux prix. « Ce qui nous arrive est généralement le résultat de ce que nous avons pensé. Tu seras ... Lire la suite


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Jeudi 22 Février 2024 - 20:31

Ni totalement rap ni complètement folklore, Ar, de son vrai nom Arnold Mbala, propose une musique sur fond textuel du folk Bembé. 

Sa créativité musicale, aime-t-il expliquer, provient de l’ancien étudiant titulaire d’un Bac E, mais devenu, par la force des choses, revendeur de fournitures de bureau. « Il faut bien gagner sa vie », ironise-t-il. Et de se réjouir en confiant que c’est grâce à cette activité qu’il est devenu propriétaire d’un studio de musique à Brazzaville, dans le quartier Diata, près du stade Alphonse-Massamba-Débat. 

C’est toujours dans le même secteur qu’il se rend tous les jours ouvrés pour vendre les fournitures de bureau dans l’enceinte de Direction des examens et concours techniques. 

 


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Jeudi 22 Février 2024 - 20:33

Long métrage romance-drame, « La flamme de nos 30 ans » aborde avec subtilité la problématique de la crise de la trentaine que redoutent plusieurs jeunes.

L’année de leurs 30 ans, quatre meilleures amies tentent de gérer leur vie de couple, leurs peines de cœur et leurs vies professionnelles. Et cette mise au point révélera plusieurs imprévus qui pourraient bien bouleverser leur amitié. Bien plus que d’autres transitions d’âges, la trentaine est généralement celle qui met certains jeunes faces à leur destin comme pour analyser le chemin de vie parcouru et celui qui reste à parcourir. Une période de remise en question entre ce que la société attend des trentenaires et ce qu’eux-mêmes veulent réellement.

S’il est vrai que la société contribue à accentuer cette pression et ce sentiment de comparaison, la crise de la trentaine peut se surmonter en ... Lire la suite


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Jeudi 22 Février 2024 - 20:34

Préfacé par Jean-Baptiste Tati Loutard, le recueil de poèmes publié par L’Harmattan-Congo exprime le ressenti du poète devant une société en proie aux violences. Il tente d’y apporter quelques mots de résilience.

Le livre compte une trentaine de poèmes en vers libres, répartis en six chapitres pris en sandwich entre un prologue et un épilogue. Dans son premier recueil que représente cette poésie, Sauve-Gérard Ngoma Malanda s’inspire du style de Tchicaya U Tam’Si, son pionnier dans l’art de Verlaine: peindre les fresques de son temps.  

Pour le préfacier, « La beauté et la maturité du verbe du poète nous indiquent qu’il ne s’agit pas de juvenilia. Il y fait preuve d’une bonne maîtrise de la langue. Ce qui n’est pas courant chez de nombreux jeunes poètes qu’il nous a été donné de lire » (Page 6). Cet éloge que Jean-Baptiste Tati Loutard ... Lire la suite


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Jeudi 22 Février 2024 - 20:34

Au cours de la décennie 1960, Jean Serge Essous est le chef incontesté de l’orchestre Bantous de la capitale qu’il dirige avec brio, au regard de ses prestations artistiques et de la plus-value qu’il apporte en son sein. Les mélomanes de l’époque disaient qu’il incarnait la force des Bantous.

Aussitôt après sa création, l’orchestre Bantous s'impose sur le microcosme musical congolais malgré la défection d’Edo Ganga et Loubelo de la Lune qui font un come-back dans l’Ok Jazz, Dicky Baroza et Dignos Ndingari qui font leur entrée dans Cercul Jazz. Essous, animé par un sentiment d’amertume adresse une diatribe aux dissidents dans sa chanson intitulée « Lolaka lua boso » où il dit, entre autres : « Ba ninga ba landi nde bomengo » , « Ngai se molema » , « Ba ninga ba kimi na lipopo » (lipopo diminutif du nom de la ville de Léopoldville), ... Lire la suite


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Mercredi 21 Février 2024 - 15:08

La directrice générale du mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza, Bélinda Ayessa, séjourne au Cameroun où elle est allée nouer un partenariat entre l’institution qu’elle dirige et le musée national du Cameroun, afin de favoriser des échanges d’expériences entre les deux structures culturelles.

Le séjour de travail de Bélinda Ayessa à Yaoundé s’inscrit dans le cadre de sa vision de faire connaître à travers le monde l’institution culturelle, historique et touristique qu’elle dirige. Accompagnée de l’ambassadeur du Congo au Cameroun, Daniel Ngassiki, au musée national du Cameroun, haut lieu de mémoire de l’histoire comme l’est le mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza, elle a eu droit à une visite guidée par le directeur général de ce musée, Eta Odjong Ivan. Au cours celle-ci, une exposition a eu lieu sur la rencontre Brazza-Makoko.

A sa ... Lire la suite


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Mercredi 21 Février 2024 - 15:18

Le directeur artistique du théâtre pour l’Humain, Guy Stan Matingou, a présenté, à travers une représentation théâtrale, les œuvres poétiques du poète et chancelier Serge Eugène Ghoma Boubanga, à l’institut français du Congo de Brazzaville.

La représentation théâtrale a porté sur le thème « Voyage intérieur », d’après les trois œuvres du poète et chancelier Eugène Serge Ghoma Boubanga. Il s’est agi, en effet, de trois recueils de poèmes que Guy Stan Matingou a adaptés, à savoir "Derniers silences", "Vents solaires", et "Cantiques incandescents".

Dans ces œuvres, le poète aborde des sujets comme le drame du 4 mars à Brazzaville,  sa ville natale Pointe-Noire (le Kouilou, la route des esclaves, Diosso le village de son père), sa progéniture. Bref, c’est une poésie intime, très personnelle et non engagée. « Ce qui m’a poussé à ... Lire la suite


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Mercredi 21 Février 2024 - 14:08

Paru aux Éditions Essaim Plumes,  "Ombres et lumières" d'Annyck Ibata-Okoko est un recueil dédié à l'exploration des émotions à travers la poésie.

Préfacé par l'écrivain-poète Ulrich Bakoumissa Ngouani, le recueil au style éclaté mène le lecteur à explorer l'œuvre d'Annyck Ibata-Okoko où se conjuguent à la fois les peines et les joies minuscules, les déceptions et l'affectivité envers son compagnon. 

L'inspiration poétique traduit une vénération de l'amour et une affection de plus en plus sincère de la vie malgré tous les caprices qu’elle impose. 

L'amour, comme le révèle chaque vers, demeure cet espace vital qui symbolise un havre de paix, de tranquillité et de survie dans cet univers immonde de solennité. 

Scellés de bout en bout d'espoir et de confiance, ces vers démontrent la pertinence créative de la poétesse qui affectionne la vie. 

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