Sécurité routière : un code de bonne conduite pour les vélos et les motos

Partant du constat que les deux roues sont encouragés dans la mauvaise conduite par leur moyen de transport peu gênant, ces derniers n’hésitent pas à rouler là où bon leur semble. Trottoirs et chaussées sont les lieux où ils se faufilent volontiers.

D’entrée de jeu, dans ce document de quelques paragraphes, il est précisé qu’il est strictement interdit de circuler sur les trottoirs, qui sont des passages réservés aux seuls piétons et aux cyclistes de moins de huit ans. Ensuite, le document exhorte le lecteur et le motocycliste à maintenir bien en vue leur moyen de locomotion sur la chaussée. « Dans les virages, serrez à droite car les voitures ne vous voient qu’au dernier moment ! » Voilà  ce qu’on peut lire dans la deuxième partie, ou encore : « Soyez particulièrement prudent lors du passage d’un camion, l’appel d’air risque de vous déséquilibrer ! »

Par ailleurs ce document, qui ,compte trois parties présente dans la toute première des observations à respecter en ville, comme garder une distance de sécurité d’au moins un mètre par rapport aux autres véhicules. Il est en outre formellement déconseillé de zigzaguer entre les voitures. Ou encore, il est préconisé d’utiliser de préférence les pistes cyclables lorsqu’elles existent.

Enfin, dans le volet trois deux mots sont expliqués : fatigue et somnolence. Le conducteur de tout type de moyen de transport est invité au repos toutes les deux heures lorsqu’il présente des signes de fatigue. Le picotement des yeux n’est pas à négliger lorsqu’il se manifeste. Il est rappelé que la somnolence est l’incapacité de rester éveiller. Dans les deux cas, la récupération vient vite si l’on s’astreint au repos.