Idées-forces

« Les justiciables, comme on le constate de plus en plus, ont à l’égard du juge, principalement, la critique acerbe. »
Corneille Moukala-Moukoko, procureur général près la cour d’appel de Brazzaville, le 7 juin 2013, face aux magistrats nouvellement nommés.

« L’université Marien-Ngouabi, seul établissement public de formation supérieure, a présenté ses limites. Le contexte actuel caractérisé par la mondialisation des échanges s’y prête pour que le Congo, et singulièrement le gouvernement, décide de la création d’une deuxième université. »
George Moyen, ministre congolais de l’Enseignement supérieur, le 19 novembre, face aux députés

« Au Congo, nous avons beaucoup d’écrivains, mais peu de poètes. »
Ben Ezer Ngoma Baheta, jeune poète congolais.

« Le gouvernement s’engage de moins en moins pour envoyer en stage le corps enseignant. Le vieillissement des personnels de ce secteur demeure un problème, car la plupart d’entre eux sont admis à la retraite. On ne peut pas avoir une université sans enseignants, car nous risquons de monter un bon projet et ne pas l’exécuter. »
Jean-Jaurès Ondélé, député du Parti congolais du travail (majorité), lors de la session plénière de l’Assemblée nationale, le 19 novembre 2013.

« La Coupe d’Afrique fait réfléchir parce que c’est quand même une autre étape qui commence. »
Blaise Élenga, président du Club athlétique renaissance aiglon (Cara), à propos de la qualification de son équipe à la onzième édition de la Coupe africaine de la confédération.

« La couture, c’est mon premier métier, je le respecte beaucoup. J’ai commencé à tenir la somme de 10 000 FCFA en classe de CM1, cela me surprenait. »
Honorienne Masamba, infirmière et couturière spécialisée dans la confection de tissus et d’objets en raphia.