Santé : les attentes de la population en 2019

Lors d’un échange avec les responsables des structures sous tutelle la ministre de la Santé, Jacqueline Lydia Mikolo, avait demandé à chacune des directions générales de produire des outils et supports normatifs de gestion des activités dans les districts sanitaires, en se basant sur le Plan national de deceloppement sanitaire (PNDS).

La direction générale de la population a élaboré, à cet effet,  un document qui a une importance capitale dans l’implémentation des activités en santé de la reproduction dans les formations sanitaires. Il s’agit notamment du sous-programme "Renforcement des services de la santé de la mère, de l’enfant, de l’adolescent et du jeune".

Dans le cadre de sa mise en œuvre, un atelier de validation a été organisé le 13 décembre dernier. D’autres axes d’intervention ont été également envisagés avec l’Organisation mondiale de la santé, notamment un accompagnement pour la mise en œuvre du PNDS 2018-2022, dans le renforcement de la sécurité sanitaire, la lutte contre les épidémies qui semblent se multiplier dans la sous-région ; la lutte contre la drépanocytose, ainsi que d’autres urgences de santé publique.

La formation  des ressources humaines en santé tout comme le renforcement des capacités de recherche et de formation à l’université Marien-Ngouabi n’ont pas été en marge. L’appui dans le processus de mise en place de l’assurance maladie universelle pour laquelle le pays est en train de s’atteler ; l’appui dans la gestion des médicaments et la lutte contre les médicaments de qualité inférieure et falsifiés (faux médicaments) ainsi qu’en matière d’amélioration de la qualité des services de laboratoire en vue de l’accréditation dans la région africaine ; l’assistance dans l’accréditation et la gouvernance des structures sanitaires allongeant la liste des attentes de la population à l’égard du gouvernement.