Fêtes de fin d’année : le député François Loussakou assiste des nécessiteux

François Loussakou a commencé sa ronde par le quartier Ngassa où il est allé faire un geste du cœur, de partage et de reconnaissance avec les sages de ce quartier en leur apportant des vivres et autres objets. « Ce que nous sommes devenus ne nous permet pas de ne pas reconnaître cela. C’est pourquoi avant toute  action politique que j’entreprends dans cette circonscription, je suis toujours obligé de venir les voir, discuter avec eux, les congratuler », a-t-il déclaré.

« Maintenant que c’est la fin de l’année, j’ai saisi cette opportunité pour venir donner un petit quelque chose à ces parents qui ont été les chefs de ce quartier », a-t-il ajouté.

Après les sages, François Loussakou a remis des vivres à la maison Salem, qui est un orphelinat logeant plus d’une vingtaine d’enfants et où les conditions de vie ne sont pas les meilleures, à entendre la directrice de cet établissement, Yvonne Mampouya, qui a informé le député des difficultés auxquelles cet établissement est confronté aujourd’hui. Parmi ces problèmes, a déclaré cette dernière, il y a la question de la ration alimentaire, l’insuffisance des lits, le loyer qui s’élève à 140 000 FCFA, et tant d’autres problèmes rendant la vie des enfants pénible.

 « Il y a des gens qui sont venus ici. On  a même vu une association venue nous filmer et qui a emporté nos photos en France, certainement pour nous aider. Malheureusement de tout cela, rien n’a été fait et c’est dommage pour les enfants. Mais, je suis rassurée, car à travers vous les choses iront mieux, elles seront dorénavant bonnes pour que plus tard ces enfants soient aussi  des hommes et des femmes dignes de notre société », a-t-elle fait savoir au député.

Après ces deux endroits, François Loussakou est allé visiter les veuves. Ici encore, l’élu de la première circonscription a posé le même geste, c’est-à-dire remis des  vivres et une enveloppe. Elles sont pour la plupart des commerçantes qui vendent au marché et dirigent des foyers. Elles  sont dans le petit commerce de subsistance. Au cour de cette visite,  Il leur  a rappelé ce qu’il comptait faire d’elles : « Je disais que celles qui sont véritablement dans des situations difficiles peuvent se rapprocher de nous pour examiner le cadre dans lequel on pourrait les aider. »

Rappelons que  pendant la campagne de 2012 ces veuves avaient exprimé plusieurs doléances, au nombre desquelles le manque de lumière dans leurs quartiers, ce qui fait que beaucoup d’actes de  vandalisme sont posés, ainsi que le manque de routes.