Art-Culture-Média
Il a rythmé l’été par son association avec le duo Daft Punk sur le titre Get Lucky. Pharrell Williams réveille l’hiver avec Happy, la chanson la plus virale et la plus inspirante du moment
Le 21 novembre 2013, le rappeur et producteur américain d’origine béninoise Pharrell Williams sort son single Happy, avant-goût de l’album Girl présenté le 3 mars. Pour accompagner son hit, l’artiste lance le site 24hoursofhappy.com hébergeant un clip vidéo de 24 heures réalisé par le collectif We are from L.A. On y voit le chanteur entreprendre une chorégraphie simple, entouré d’amateurs et de personnalités comme Jamie Foxx ou Steve Carell.
Dès la semaine suivant la sortie de cette vidéo, des dizaines d’inconnus ont repris le concept sous forme de lip dub (clip promo) pour rendre hommage à leur ville. Montréal, Abu Dabi, New York, Sao Paulo, Paris… la contagion ... Lire la suite
Écrit au passé simple et à la première personne du singulier, Les mystères du monde pénitencier de Célestin Tanda est un récit de 93 pages et de 16 chapitres, publié aux éditions L’Harmattan-Congo en novembre 2013
Pour avoir décroché son téléphone et accepté la proposition d’un ami, Pierre Mungumby se retrouve dans un poste de police. Faute d’argent pour s’offrir une liberté conditionnelle difficilement négociée par son avocat, Mungumby est transféré à la prison de Sun City. Brimade, discipline et foi en Dieu sont les maîtres mots qui décrivent le mieux son premier passage en prison.
Les mystères du monde pénitencier de Célestin Tanda commencent par un avant-propos que l’auteur considère plutôt comme un prologue. Dans cet ouvrage, il est plus préoccupé par la narration de l’histoire que par l’esthétique des mots. Le débit est rapide, si ... Lire la suite
Entendu comme un appel à sauver l’ancien conservatoire national de musique et art dramatique, le moyen métrage L’Institut national des arts de Kinshasa, demain… connaîtra une première projection publique gratuite dans l'espace culturel situé non loin de Socimat ce vendredi 14 mars à 18 heures.
La vidéaste Amal Kharrat, réalisatrice du documentaire de 55 minutes a, en guise d’invitation à l’avant-première, expliqué sa démarche et parlé de façon sommaire de son contenu partant d’une petite anecdote autour de son film. Au point de presse du 11 mars dans la salle du Centre d’études et de diffusion des Arts (Cédar) de l’Institut national des arts (INA), on l’a entendu affirmer qu’il y a trois ans sur invitation du directeur général de l’INA André Yoka Lye, elle avait participé à des ateliers de scénographie et de réalisation de cinéma. Tout est ... Lire la suite
Elle a réalisé deux documentaires en 2010 : De quoi avons-nous peur ? qui a reçu en janvier dernier le prix du meilleur documentaire au festival Tazama, festival du cinéma féminin au Congo-Brazzaville ; et On n'oublie pas, on pardonne qui a reçu le prix du public au festival Ciné-Sud de Cozes 2011, en France. Elle a également été sélectionnée la même année au Fespaco en compétion officielle.
Journaliste de terrain, elle gère au quotidien l'activité culturelle, ce qui lui a permis de collaborer avec trois festivals de la place en tant que chargée de communication. Passionnée de culture, elle anime un blog, Basango-ya-brazza.blog4ever.com, ou elle met en lumière les activités culturelles de la place et les initiatives féminines qui méritent un petit coup de pouce pour faire valoir leurs entreprises. En outre, depuis 2010 Annette est chef du service culturel à La ... Lire la suite
Jean-Claude Kodia, chorégraphe et pédagogue en danse contemporaine, proposera Au delà de tes pas se créent des traces, présenté par la compagnie Plante planétaire, puis son solo Corps lié au son d’abstrait
La pièce Au delà de tes pas se créent des traces est une création de 2012. Elle nous a révélé le chorégraphe : il parle de la colonisation, de la mondialisation et les cris de larmes des peuples. Jean-Claude Kodia présentera son solo Corps lié au son d’abstrait, un véritable trait d’union entre le corps et le son.
Le chorégraphe pratique la danse depuis plus de vingt ans. Il a commencé à exercer cette passion très jeune. « Ce métier, je ne l’ai pas appris à l’école, c’est une vocation. J’ai toujours expliqué qu’un artiste, on le forme pas, il est comme un génie, il sait d’où il vient, où il va, parce qu’un génie chaque fois ... Lire la suite
L’artiste prend part au festival « Lezarts Urbains » qui va se dérouler du 12 au 29 mars à Bruxelles.
Angel Kaba se définit comme une « artiste pluridisciplinaire amoureuse du métissage des arts et cultures en général ». Chorégraphe, danseuse, coach et professeur, elle est née à Bruxelles d’une mère martiniquaise et d’un père congolais. Artiste dans l’âme, elle pratique la danse classique dès l’âge de 6 ans et pratiquera cette discipline pendant 13 ans. Angel Kaba étudie également durant 5 ans le solfège, le chant et le théâtre à l'académie de musique de Bruxelles. Graduée en Marketing, elle se lance dans la production en 2006 et monte sa première comédie musicale intitulée « Le rêve d'Elya ». Elle a également monté et dirige sa propre compagnie artistique « Contre-Tendance », spécialisée dans la danse, le chant et le ... Lire la suite
La communauté des rastas du Kouilou va livrer, le samedi 22 mars, un grand concert de reggae au bar Le Continental, situé à Mpaka, dans le sixième arrondissement de Pointe-Noire
Le Reggae est une musique de cœur et d’inspiration, mais aussi mythique, voire mystique. « La musique est la religion, et la religion, la musique. Le reggae est une communication, la communication la plus douce », disait Bob Marley de son vivant.
Le but de ce concert est d’attirer un large public. Ainsi à travers ce rendez-vous culturel, la communauté des rastas du Kouilou va mettre en œuvre les mots de Bob Marley en véhiculant des messages de paix et d’amour. Car être rasta, c’est d’abord croire en Dieu et suivre ses préceptes, comme le chantait Bob Marley dans One love, plaidoyer pour l’unité dans l’amour du Seigneur .
Pour la petite histoire, le Jamaïcain Marcus Garvey, ... Lire la suite
La double programmation du 15 mars prévue simultanément sous la Petite Halle et la salle polyvalente de l’Institut français (IF) de 11h00 à 13h00 est organisée respectivement autour du conteur Makitakov ainsi que des poétesses Bestine Kazadi et Jocelyne Kajangu.
La matinée du samedi promet d’être particulièrement animée pour les petits et grands à l’IF. La littérature est au centre des deux activités d’entrée libre du jour qui se tiendront à l’occasion de la Journée mondiale du conte. Les enfants sont invités au programme jeunesse à l’affiche dans la Petite Halle. En vedette, le conteur Makitakov qui n’est plus inconnu pour les habitués de cette rencontre désormais inscrite dans l’agenda de l’IF avec pour objectif d’initier la jeunesse aux contes africains. En cette circonstance solennelle, l’artiste se fera fort de captiver sa jeune ... Lire la suite
Ni sacrée ni mondaine, la chanson Je t’aime Congo, est une interpellation faite aux Congolais de tous horizons, afin qu’ils puissent contribuer à la construction de la nation congolaise dans la paix, la quiétude et la réconciliation nationale. L’auteur de cette œuvre nous explique le contenu de cette chanson
Prélude à la sortie officielle de ce single, le compositeur du titre, le prophète Elion Ronis Zangha, dit prophète de la discipline, est en pleine campagne médiatique afin de vulgariser sa chanson éducative. « Je suis en train de vulgariser cette chanson pour permettre aux Congolais non seulement de la découvrir, mais aussi de la comprendre », a-t-il déclaré.
Elion Ronis Zangha pense que s’il est aidé dans la production de ce single (6 minutes 18 secondes), il partagera gratuitement ce produit avec les élèves congolais. En effet, dans Je t’aime Congo, ... Lire la suite
Paris. Événement : Salon international du livre du vendredi 21 au lundi 24 mars de 10h à 19h et 20h. Stand Livres et Auteurs du Bassin du Congo : espace d’expression de la littérature d’Afrique centrale, le stand Livres et Auteurs du Bassin du Congo est devenu un lieu incontournable. Il offre une librairie spécialisée et un programme riche de conférences, tête-à-tête et dédicaces avec les écrivains francophones qui font l’actualité littéraire. Entrée 10 €, gratuit pour les moins de 18 ans et les étudiants de moins de 26 ans ou les plus de 60 ans. Salon du livre de Paris, Hall 1-S64, Parc des Expositions, boulevard Victor, Paris 15. Plus d'informations sur www.lagaleriecongo.com www.livresdubassinducongo.com
Paris. Poésie : À Paris onzième Printemps des poètes des Afrique et d’ailleurs, présidé par Thierry Sinda et animé par Moa Abaïd assisté ... Lire la suite