Art-Culture-Média
Les salons éducatifs « Étudier en Russie en 2013 » organisés en juillet 2013 au Centre culturel russe (CCR) à Brazzaville et au consulat honoraire de Russie à Pointe-Noire, ont été un grand succès
C’est grâce à l’organisation du Centre russo-africain des services universitaires (Racus) qui représente les universités les plus populaires de Russie qui proposent l’enseignement en langues russe et française, que les étudiants congolais se sont fait inscrire. Parmi les spécialités proposées dans ces universités, il y a la médecine générale, la médecine dentaire, la pharmacie, la biochimie médicale, et plus de 300 autres spécialités médicales, techniques, économiques et humaines, bref, toute filière d’études existant au monde est disponible dans les universités russes. C’est l’une des raisons qui a incité les bacheliers congolais à s’inscrire ... Lire la suite
L’artiste propose une initiation au ballet lors de la prochaine fête de la danse à Bruxelles prévue du 4 au 8 septembre. Elle dispensera également des cours de danse traditionnel à partir du 13 septembre
Les cours seront dispensés deux fois par semaine dans la capitale belge. La danseuse congolaise va initier aux différents pas et rythmes traditionnels basés sur le mouvement des hanches.
Née le 11 août 1990 à Bruxelles, Christelle "Kiki" Samba Walo Amboshi Osele, de son vrai nom, a grandi dans la commune d’Alost dans l'unique famille africaine du quartier. Elle s’intéresse à la danse dès son plus jeune âge et se spécialise dans le ballet classique, contemporain, jazz, hip-hop et new school house. De retour au Congo à l’âge de 17 ans, elle se passionne pour la culture congolaise en général et le ballet traditionnel en particulier. Elle crée ainsi en ... Lire la suite
Chose promise, chose due… Lors de la finale de l’élection Miss Congo 2012, une voiture avait été promise à l'heureuse gagnante. La promesse vient d’être concrétisée au cours d’une sobre cérémonie organisée à l'hôtel Mikhael’s
C’est des mains de la présidente du comité Miss Congo (Comico), Mme Pupuce Mouétoukouenda née Ibata-Ngalla, que Loïca Kengué, lauréate de l’élection 2012, a reçu les clés de contact de sa voiture. On pourra s’interroger, pourquoi une année après ?, tout simplement parce que les clauses que signent le comité et les lauréates à l’issue de l’élection sont claires. À ce propos, l’article 28 du règlement intérieur, au chapitre des prix, cadeaux et rémunérations, stipule : « Tous les cadeaux de valeur qu’elles pourront recevoir dans le cadre de leur élection leurs seront officiellement remis à la fin de leur ... Lire la suite
Après exploration auprès des libraires, des lecteurs et des bibliothécaires à la suite de la foisonnante sortie des ouvrages de la rentrée littéraire 2013, nos coups de cœur pour les lecteurs de l'édition du samedi des Dépêches de Brazzaville portent sur La Saison de l’ombre de Léonora Miano et le Journal d’un écrivain en pyjama de Dany Laferrière à paraître
La Saison de l’ombre de Léonora Miano chez Grasset, parution le 2 septembre 2013
« Si leurs fils ne sont jamais retrouvés, si le ngambi ne révèle pas ce qui leur est arrivé, on ne racontera pas le chagrin de ces mères. La communauté oubliera les dix jeunes initiés, les deux hommes d’âge mûr, évaporés dans l’air au cours du grand incendie. Du feu lui-même, on ne dira plus rien. Qui goûte le souvenir des défaites ? »
Nous sommes en Afrique sub-saharienne, quelque part à ... Lire la suite
Entre balade et détente de fin de semaine, la diaspora congolaise a trouvé l’occasion de faire parler de son pays : la guinguette de Suresnes, un rendez-vous culturel et gastronomique incontournable en partenariat avec la municipalité de la ville hôte
Comme l’année dernière, l’association Mumvuka Congo propose durant cet été, du 13 juillet au 1er septembre, à Suresnes, des bals-concerts avec dégustation de mets congolais. En 2013, le concept mis en place, avec le concours de Stewart Sounda et Cyriaque Bassoka, semble donner à la diaspora un point de repère estampillé « Made in Congo ». Tous les samedis et dimanches après-midi, au centre aéré des Landes, la nouvelle guinguette, organisée au profit des enfants autistes de Suresnes et dans le cadre des matinées de la rumba, bat son plein. La deuxième édition des retrouvailles culturelles de Suresnes semble ... Lire la suite
Personnalité incontournable de la littérature, Marie-Léontine Tsibinda-Bilombo a été couronnée par le Prix national de poésie en 1981 et par celui de l’Uneso-Aschberg pour sa nouvelle Les Pagnes mouillés en 1996. À l’occasion de la rentrée littéraire, notre édition du samedi ouvre ses colonnes à l’ancienne pensionnaire de Rocado Zulu trois mois après la célébration de la mémoire de Sony Labou Tansi à la Librairie-Galerie Congo à Paris
Les Dépêches de Brazzaville : Depuis 1999, où se trouve la femme à laquelle vous avez fait allusion lors du colloque de 1993, « L’itinéraire d’une femme dans la forêt des hommes de lettres » ?
Marie-Léontine Tsibinda-Bilombo (MLTB) : Comme vous pouvez le constater, le temps a filé et la première femme dans la forêt des hommes de lettres a eu des émules dans le sens où le chemin tracé a été suivi par ... Lire la suite
Deux jours, c’est le temps que va durer l’atelier relatif au lancement de cette campagne organisée par la commission de l’Union africaine (UA) et le ministère de la Culture et des Arts du Congo. Quarante-cinq participants en provenance des États de la Communauté économique de l’Afrique centrale (Cééac) et de la Communauté de l’Afrique de l’Est (CAE) prennent part à cet atelier ouvert par le ministre de la Culture et des Arts, Jean-Claude Gakosso, ce 22 août à l’auditorium du ministère des Affaires étrangères
Établie par les chefs d’État et de gouvernement de l’UA, réunis en la sixième session ordinaire de leur conférence à Khartoum en République du Soudan les 23 et 24 janvier 2006, la présente charte de la renaissance culturelle africaine, dont la campagne est lancée ce jour à Brazzaville, compte trente-neuf articles répartis en neuf titres. ... Lire la suite
L’artiste compte réaliser un trio vocal en compagnie des Congolais de Brazzaville qui ne sont autres que Fredy Massamba (voix et percussions) et Ballou Canta au chant
« Nzimbu » (Argent en kikongo) se veut un pont musical lancé entre les rives des deux Congo. Les trois artistes seront accompagnés par la guitare du brésilien Rodrigo Viana. Selon le site Jazz musiques productions, le projet musical rassemble trois générations et trois timbres de voix qui s'unissent, puisant leurs sources dans l'Afrique profonde mais également dans l'Afrique d'aujourd'hui, bien ancrée dans la réalité urbaine des grandes villes. « Nzimbu » fait ainsi le pari d'une esthétique acoustique.
Le projet « Nzimbu » sera présenté pour la première fois au « Festival de la Voix » dans la Cathédrale de Calvi le 14 septembre prochain. En attendant, Ray Lema et ses quatre acolytes (quintette) ... Lire la suite
Cette semaine, nous avons choisi de nous souvenir d’une certaine belle époque, celle du début des années 1980, en vous proposant Pamelo Mounk’a. Un des musiciens congolais les plus prolixes qu’on n’oubliera jamais tant ses œuvres ont été reprises même au-delà de nos frontières
Ce talent immense, il le doit bien entendu à la composition et la recherche de rythmes qui s’apprécient au-delà des paroles. Mais il le doit aussi certainement au fait qu’il fut à l’aise dans des compositions en français qui ont ensuite fait le tour de la planète. Les années 1980 sont de ce point de vue les plus foisonnantes en compositions multilangues de feu Pamélo. L’album proposé a quatre chansons, toutes devenues des tubes que bon nombre reprennent sans pourtant en connaître les origines. Il s’agit de Ce n’est que ma secrétaire, Amour quand tu nous prends, Buala yayi ... Lire la suite
Après L’Expression du métissage dans la littérature africaine, Liss Kihindou signe Chêne de Bambou, un roman de 251 pages paru aux Éditions Anibwe en 2013
Cet ouvrage relate les déboires que vit Miya. Arrivée en France grâce à une correspondante qui lui offre l’opportunité de poursuivre ses études, Miya croit que la vie est toujours rose. Commencent ses malheurs, avec sa situation financière qui devient très critique, l’oblige à se marier officiellement avec un homme blanc et la naissance d'un enfant.
Malgré ce mariage et l’a naissance de son enfant, les choses se compliquent. Difficile pour elle de raconter ses déceptions à ses parents qui croient et espèrent que tout est merveilleux pour leur fille. Miya, qui n’a pas pu garder le silence, se confie à son ancienne copine, restée au pays, par correspondance et lui décrit la vie en France. Elle lui ... Lire la suite