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Vendredi 12 Juillet 2013 - 18:30

Les Dépêches de Brazzaville lancent deux nouveaux sites !

www.adiac-congo.com

www.lesdepechesdebrazzaville.fr

Téléchargez le dossier de presse ci-dessous.


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Lundi 7 Janvier 2013 - 12:30

S.A.P.E., un beau livre de photos sur la Société des ambianceurs et des personnes élégantes (Sape), est publié en français, en anglais et en espagnol. Ce mouvement, qui remonte aux années 1980, représente un art de vivre made in Congo-Brazza

Héctor Mediavilla.Hector Mediavilla revient sur sa démarche artistique lors d’un entretien consacré à la sortie de son livre.

Les Dépêches de Brazzaville (LDB) : Quelles sont les motivations qui vous ont poussé à écrire ce livre ?

Hector Mediavilla (HM) : J’ai découvert la Sape en 2003 alors que j’assurais la formation de jeunes photographes à Brazzaville. C’est un concept unique en son genre. Séduit, je me suis concentré sur ce phénomène. Je voulais montrer une autre image de l’Afrique, aller au-delà de la misère et des guerres infernales.

LDB : La Sape n’appartient-elle qu’à un milieu social ou touche-t-elle tout le ... Lire la suite


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Mardi 29 Janvier 2013 - 11:45

De Paris à Bamako, de Nouméa à Brazzaville, la mouvance hip-hop ne connaît pas de frontières. Slam, rap, danse, partout de jeunes artistes s’approprient les codes, le rythme et les formes d’une culture urbaine dont la richesse n’est plus à démontrer.

Du 10 au 16 février 2013, des artistes urbains venus d’horizons très variés ont mis leur énergie et leur expérience au service d’un projet de spectacle mariant slam, rap, musique et danse. Découvrez le résultat de ce workshop, samedi 16 février à l’Institut français du Congo lors d’une exceptionnelle soirée Vibrations urbaines.

Sur scène, découvrez la crème du hip-hop brazzavillois : Biz Ice, Boogie Black, Fal Mu Kwa Ndouenga, Vahn lyrical, DJ Mboh, Carlos La Menace aux côtés de la star du rap malien Amkoullel. Mais aussi le flow impeccable de Rouda et la présence explosive du slameur néo-calédonien ... Lire la suite


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Lundi 1 Juillet 2013 - 6:45

Comme une brûlure sur la peau est le premier coup d’essai d’écriture de Blanche Bouity Mafouana. Dans ce témoignage, elle mêle son expérience dans l’humanitaire et sa vie passée au sein d’une famille nombreuse, dont le père était un administrateur renommé du Congo

Comme une brûlure sur la peau, Blanche Bouity MafouanaDans ce livre témoignage de 89 pages, l’auteur rend hommage aux femmes, à toutes celles qui accouchent dans des conditions difficiles. Elle introduit le premier chapitre de son ouvrage par l’accouchement de sa mère, qui donne naissance à l’un de ses fils, seule sur un balcon. Elle désigne cette situation d’un terme significatif : celles qui accouchent sauvagement.

« J’ai commencé en prenant le cas de ma mère qui a donné naissance à mon frère alors que j’avais neuf ans. Cette fibre humanitaire, je la tiens peut-être de l’accouchement de ma mère sur un balcon vers minuit. J’ai ... Lire la suite


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Samedi 20 Octobre 2012 - 8:00

Le tour d'horizon, animé par l'enseignant et critique littéraire Yves Chemla, a proposé une sélection de livres ecclectiques reflétant la richesse de la littérature francophone

 Yves Chemla et les auteurs dans l'auditorium du musée de la Poste.À cette table ronde, ce sont septs auteurs aux univers très différents qui ont présenté tour à tour leur ouvrage.

Muriel Tramis avec son roman Au cœur du Giraumon, dont l'intrigue, une histoire d'amitié et de vengeance, veut porter cette interrogation au monde : Que peut-on apporter au monde quand on naît femme en Martinique, terre de métissage et de rencontre entre l'Europe et l'Afrique ? Le titre du livre s'inspire du proverbe créole « Seul le couteau sait ce qui se passe au cœur du giraumon ». Il relate une histoire d'amitié entre trois jeunes filles que tout devrait opposer : une béké, une mulâtresse et une noire, élevées dans un même lycée et unies par une proximité ... Lire la suite


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Mercredi 23 Janvier 2013 - 16:30

À vingt-neuf ans, Makenzy Orcel, ce « poète solitaire », comme le qualifie son éditeur Rodney Saint-Éloi, a fait de sa poésie un cri, pour donner une force littéraire et une voix à cette rage qui l’habite : « Je suis né fâché, j’ai été fâché toute ma vie. C’est cette colère qui m’a donné envie d’écrire. »

Makenzy Orcel (© Patrice Normand)De la colère, mais pas seulement. Car la poésie de Makenzy Orcel, héritière de la tradition littéraire haïtienne, transforme la vie en musique et dévoile la beauté des choses en quelques phrases épurées : « Il y a aussi de la magie, dans ce qu’on voit, ce qu’on entend et surtout ce qu’on lit. »

Makenzy Orcel est né en 1983 à Port-au-Prince. Après des études de linguistique, il abandonne l’université pour se consacrer à la littérature. Il publie deux recueils de poèmes, La Douleur de l’étreinte en 2007 et Sans ... Lire la suite


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Jeudi 17 Janvier 2013 - 11:15

À Brazzaville, dans le secteur du livre le marché d’occasion est plus important que la vente dans les librairies traditionnelles. La capitale des lettres congolaises ne compte plus qu’une seule grande librairie digne de ce nom pour la quantité de son offre et pour la qualité de son espace d’exposition. Si la librairie des Dépêches de Brazzaville reste de loin le plus important canal de distribution pour ce secteur, sur les grandes artères brazzavilloises se sont développées depuis de nombreuses années les librairies dites « par terre » proposant des livres neufs et d’occasion à des prix concurrentiels

Une librairie « par terre » à Brazzaville.Manuels scolaires, littérature, dictionnaires, romans policiers, livres spécialisés attendent à même le sol un acheteur. Sous le soleil, les vendeurs de librairies par terre sont attentifs à la demande du client. Le prix annoncé est ensuite débattu. Celui de ... Lire la suite


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Jeudi 17 Janvier 2013 - 13:00

À la faveur d’une invitation de l’Institut français, l’auteur de Demain j’aurai vingt ans séjourna à Pointe-Noire avec sa compagne pendant deux semaines. Et ce fut l’occasion, pour lui, de revenir après vingt-trois ans d’absence sur les lieux de son enfance et de revisiter quelques épisodes ayant émaillé sa jeunesse parmi les siens dans la ville océane

Alain Mabanckou.Le tour de force réussi dans ce livre est que le lecteur a le sentiment qu’il s’agit non d’une autobiographie « personnelle », mais de l’histoire d’une famille, alors qu’il s’agit précisément de se raconter à travers les autres.

Sont tour à tour évoqués les demi-frères, les oncles, la grand-mère (qui, selon ses rêves, n’attend que l’arrivée d’une femme blanche pour quitter cette Terre et rejoindre la lumière éternelle) ainsi que toute sorte de mentors (le dragueur, le professeur ... Lire la suite


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Mardi 15 Janvier 2013 - 10:45

Le Congo, nom que portent deux pays frères issus du royaume fondé en 1275 par Mwènè Ntinu ou Nimi-Lukéni, est l’œuvre d’un puissant symbole dont les Congolais eux-mêmes n’ont pas à ce jour saisi toute la portée

Gabriel Okoundji.Rappelons qu’en langues téké et tégué, Ko ou Kwa signifie lieu, et Ngo la panthère. En langue kongo, Kwa ngo signifie le pays de la panthère. Nos ancêtres Vili ont fondé au xiiie siècle le royaume de Loango (Loa : commandement, règne et Ngo : panthère). Le nom Congo a donc pour acception le pays, ou l’allié de la panthère. Voilà pourquoi la panthère reste l’animal de la seigneurie, l’animal totémique des Bantous.

Le Congo est aussi, comme dirait mon oncle, « ce grand fleuve qui avale tous les fleuves », entouré d’une végétation, l’une des plus luxuriantes qui soient au monde, riche, dense et variée, inondée d’une subtile ... Lire la suite


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Lundi 7 Janvier 2013 - 13:30

La diva camerounaise est issue d’une famille de stars : son père fut ancien champion d’Afrique de boxe anglaise et sa mère Miss Cameroun 1960. Ses frères Imane, Jean-Marie Didère et le Duc sont respectivement styliste, danseur et chorégraphe. Après une absence de six ans sur le marché du disque, elle revient avec un double album sous les feux de la rampe, plus pimpante que jamais

Les Dépêches de Brazzaville : Éthique et Déontologie et La Vie chère sont les titres de vos deux albums. A-t-on raison de voir dans ces deux titres une forme d’engagement politico-social ?

Chantal Ayissi : C’est une façon de déChantal Ayissi.noncer les dérives de la vie et ce qui se passe dans le monde, particulièrement en Afrique. Je ne fais pas de politique. Mes textes s’inspirent du quotidien de la société africaine. Je suis une artiste. Nous avons le devoir de faire entendre à travers ... Lire la suite

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