Politique
Le président du Conseil supérieur de la liberté de communication(CSLC), Philippe Mvouo a invité le 18 février à Brazzaville, les acteurs politiques à éviter la propagande déguisée en cette période pré-électorale.
Philippe Mvouo a indiqué que, pendant la période pré-électorale, le candidat potentiel a droit d’exercer la communication politique aux moyens des réunions dans les états-majors, des conférences de presse, des débats médiatiques sur les questions de la vie nationale et internationale. « Le candidat pré-positionné doit cependant s’interdire de tenir des meetings, d’organiser des marches ou toute activité culturelle ou sportive. S’agissant des meetings, leur diffusion en direct est interdite. Il doit s’interdire également tout affichage de ses photographies ou dresser des banderoles délivrant des messages de propagande politique », ... Lire la suite
Le 18 février à Brazzaville, l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads) a éclairé le public congolais suite aux déclarations de Joseph Kignoumbi Kia Mboungou et de Gaspard Kaya Magane.
Ces deux cadres de l’Upads n’avaient pas approuvé la décision du Conseil national portant des sanctions sévères en raison des questions d’ordre disciplinaire. Dans leurs déclarations, ils avaient émis des jugements de valeur sur la gestion et le fonctionnement du parti d’une part, ainsi que l’acharnement contre le premier secrétaire du parti, Pascal Tsaty Mabiala, candidat investi à l’élection présidentielle de mars prochain.
Selon le porte-parole de l’Upads, Honoré Nsayi, le Conseil national avait pris acte de la démission de fait de Joseph Kignoumbi Kia Mboungou, pour appartenance à une formation politique autre que l’Upads et exclu Gaspard Kaya ... Lire la suite
![](https://www.adiac-congo.com/sites/default/files/kin.png)
La RDC et le Burundi demandent au Conseil de sécurité de rappeler à l'ordre le Rwanda, qui est accusé de recruter des réfugiés burundais pour déstabiliser le pays de Pierre Nkurunziza.
Depuis la réélection en juillet dernier du président Nkurunziza pour un troisième mandat, le Burundi vit une situation politique très tendue sur fond de violences récurrentes. L'opposition, la société civile et une partie du camp présidentiel jugent ce plébiscite contraire à la Constitution et à l'Accord d'Arusha, qui avait mis fin à la guerre civile (1993-2006). C’est dans le but de pousser Bujumbura à dialoguer avec l'opposition et à accepter une présence internationale accrue dans le pays afin d'apaiser les violences que le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon est en passe de se rendre incessamment dans la capitale burundaise.
Cette crise burundaise, à en croire un ... Lire la suite
Le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, a signé le 17 février à Brazzaville le décret portant nomination des membres de la Commission nationale électorale indépendante (CNEI).
Au terme de ce décret, Henri Bouka présidera la coordination de la CNEI, alors que Hyacinthe Ongotto, Julien Euloge Libota, Elvis Digne Tsalissan Okombi et Germain Céphas Ewangui en assurent, respectivement, les première, deuxième, troisième et quatrième vice-présidences. Les quatre vice-présidents représentent, par ordre les partis de la majorité, l’opposition, le centre et la société civile.
Le bureau est complété par Martin Bissila et Jacques Essissongo en qualité de rapporteur général et adjoint à ce dernier ; alors que Nicolas Okandzi et Mme Gulu née Aimée Gertrude Gossia sont nommés trésorier général et trésorière générale adjointe. Gaston Ololo et ... Lire la suite
![](https://www.adiac-congo.com/sites/default/files/kin.png)
La frontière entre la ville de Goma et le Rwanda est de nouveau ouverte 24 heures sur 24, sur la décision du président de la République, Joseph Kabila.
Désormais la frontière terrestre entre la ville de Goma (RDC) et Rubavu (Rwanda) est ouverte à plein temps, soit 24 heures sur 24.Les Rwandais et Congolais pourront effectuer les aller et retour autant des fois qu’ils voudront sans la moindre restriction. C’est ce que vient de décider le chef de l’État, Joseph Kabila. L’annonce de la décision présidentielle a été rapportée aux « Gomatraciens » le 16 février dans la foulée de l’arrivée à Goma des Léopards, vainqueurs du dernier Chan/Rwanda 2016. C’est dans une ambiance carnavalesque que ces héros ont été accueillis dans le chef-lieu du Nord-Kivu qui a fait fi de la ville morte décrétée par l’opposition pour communier avec leurs stars du foot.
Les conseillers départementaux et municipaux de la commune de Brazzaville ont adopté le budget de leur institution pour l' exercice 2016. Il est arrêté en recettes et dépenses à la somme de 32 milliards, 053 millions 211mille 350 FCFA, contre 31milliards,423millions895mille895 FCFA l’année précédente.
Ouverte le 8 février, la quatrième session ordinaire budgétaire du Conseil départemental et municipal de Brazzaville a pris fin, le 17 février à l’hôtel de ville. Ce Parlement local a, au cours de ces assises, adopté le projet de délibération portant adoption du budget de la commune de Brazzaville exercice 2016, le projet de délibération portant adoption du programme d’investissement de la commune de Brazzaville, exercice 2016 qui s’élève à 3milliards141millions 942mille 318 FCFA et le projet de délibération faisant obligation aux ... Lire la suite
![](https://www.adiac-congo.com/sites/default/files/kin.png)
Le coordonnateur et porte-parole du Front du peuple reproche au sénateur et ancien vice-président de la Céni de s’être illustré par « des propos diffamatoires » à l’endroit d’Étienne Tshisekedi.
Dans une parenthèse ouverte lors de son allocution de clôture, le 15 février, au Cepas à Gombe, des travaux de la première convention politiques des alliés du lider maximo Étienne Tshisekedi, le coordonnateur et porte-parole du Front du peuple, Jean-Pierre Lisanga Bonganga, s’est longuement étendu sur la légitimité et la légalité du Sénat congolais qu’il considère être constitutionnellement fin mandat depuis huit ans. Pour Lisanga Bonganga, en effet, le Sénat congolais siégerait impunément dans l’illégitimité et illégalité les plus criantes.
Cette situation a été évoquée parce que le coordonnateur et porte-parole du Front du peuple voulait parler ... Lire la suite
![](https://www.adiac-congo.com/sites/default/files/kin.png)
Dans un communiqué conjoint publié le 16 février, l’Union africaine, les Nations unies, l’Union européenne et l’Organisation internationale de la francophonie demandent aux acteurs politiques congolais d’organiser ce forum « à bonne date » et dans le cadre constitutionnel.
La communauté internationale, représentée par quatre organisations susmentionnées, soutient la tenue du dialogue politique en instance d’être organisé en RDC. C’est ce qui ressort du communiqué conjoint publié le 16 février par ces quatre institutions dans lequel elles insistent sur la nécessité de poursuivre le processus politique devant conduire à la tenue de ce forum. Celui-ci, de l’avis de ces organisations internationales, est la voie obligée pour parvenir à l’organisation des élections apaisées en RDC. Elles militent pour la recherche d’un accord entre les acteurs ... Lire la suite
Dans une déclaration rendue publique, le 17 Février à Brazzaville, l’Union pour un mouvement populaire (UMP), parti du centre que préside Digne Elvis okombi Tsalissan, insiste sur son autonomie et son indépendance vis-à- vis de la majorité et de l'opposition.
« En ce qui concerne le positionnement du centre en tant qu’entité politique, nous réaffirmons ici que nous ne sommes ni à la majorité ni à l’opposition. C’est fort de ce statut, que le centre s’est associé aussi bien avec l’un et l'autre courant pour défendre les points de vue qui se rapprochent de ses valeurs », souligne la déclaration lue par le porte-parole de ce parti Sileyas Kombo, avant d’ajouter, « C’est dans cet esprit d’autonomie et d’indépendance que l’Union pour un mouvement populaire et la coordination générale des partis du centre avaient émis des ... Lire la suite
![](https://www.adiac-congo.com/sites/default/files/kin.png)
L’appel à la désobéissance populaire et pacifique s’est avéré un véritable test pour l’opposition qui s’en est tirée avec plus ou moins de bonheur tout en défiant le gouvernement et les forces de l’ordre qui avaient appelé les Kinois à se rendre au travail.
Journée tout à fait particulière que le 16 février à Kinshasa qui n’a pas connu son ambiance habituelle. Les activités ont tourné au ralenti dans plusieurs secteurs, conséquence du mot d’ordre de la « ville-morte » décrété par les principaux partis politiques de l’opposition regroupés au sein de trois grandes plates-formes, en l’occurrence le G7, la Dynamique de l’opposition et le Front citoyen 2016. La plupart des Kinois, redoutant d’éventuels dérapages, ont préféré rester chez eux. Le spectre des violences de janvier 2015 hantait encore les esprits au point de dissuader beaucoup ... Lire la suite