Style et Art de vivre
Épidémie
s : les virus cousins de Marburg et Ebola mettent le monde en alerte
Le décès d'un homme victime de la fièvre hémorragique de Marburg, en Ouganda, prend un écho particulier dans la mobilisation massive contre l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest. Le virus de Marburg, de la même famille que celui d'Ebola, est le premier des agents pathogènes les plus virulents chez l'homme, selon l'Organisation mondiale de la santé. D’autant que, tout comme pour Ebola, il n'existe contre le virus de Marburg ni traitement, ni vaccin validés sur l'homme contre cette « nouvelle » fièvre hémorragique. Seuls des soins intensifs permettent d'éviter la dégradation du malade et surtout un diagnostic aux premiers symptômes de l’épidémie.
Ebola : Alpha Blondy interpelle la communauté internationale sur la gestion de l’épidémie
L’artiste ivoirien, de passage à Paris ... Lire la suite
Ingrédients pour quatre personnes
- 1 kg de dorade rouge
- 1 tomate fraîche moyenne à piler
- tomate concentrée
- 2 gousses d’ail
- 1 bouquet de persil
- ciboule à piler
- 50g d’olives dénoyautées
- huile végétale pour friture et sauce tomate
- 2 poivrons, 1 rouge et 1 vert à couper en lamelles
- 2 gros oignons à couper en gros carrés
- sel, poivre blanc et noir
- 1 feuille de laurier
- 1 piment (facultatif)
Préparation
Dépecer et laver le poisson puis le saler. Laisser reposer pendant quelques heures en prenant bien soin d’assaisonner avec la ciboule et le poivre blanc. Frire le poisson en veillant à ce qu’il reste entier. Séparément, procéder à la cuisson de la sauce tomate en casserole après avoir fait revenir les oignons, l’ail et le reste de ciboule pilée. Ensuite, ajouter tomate concentrée et tomate pilée et laisser mijoter à feu doux. Ajouter enfin le ... Lire la suite
Le pavillon angolais à l’Exposition universelle de Milan a été dévoilé samedi : majestueux et magnifique !
Le pavillon angolais sera le plus grand pavillon des participants africains à l’Exposition universelle de Milan. Samedi et dimanche l’Angola a inauguré la série des avant-goûts qui vont s’échelonner au cours d’un programme appelé « Week-end pays ». Luanda promettait une œuvre originale et grandiose pour son pavillon : il n’avait pas exagéré. Car son stand occupera 2.800 M2. Le pays avait annoncé que sa participation se ferait sur le thème : « Alimentation et culture, éduquer et innover ».
Le pari sera certainement tenu. Pour cette exposition dont le thème général sera « Nourrir la planète. Energie pour la vie », l’Angola avait promis que sa participation prolongerait la préoccupation d’un pays orgueilleux de ses culturelles ... Lire la suite
Organisé par l’équipe d’Unilever Export Afrique, un petit-déjeuner de presse a eu lieu le vendredi 3 octobre au siège du groupe Unilever France à Rueil-Malmaison, près de Paris
À l’occasion de la présentation de l’égérie africaine de la marque, Élodie Sea, grande gagnante du concours Miss Dove, un petit-déjeuner de presse a été organisé. L’équipe d’Unilever Export Afrique a dévoilé en avant-première les nouveautés de la gamme de produits de cette fin d’année et les projets prévus en 2015.
Âgée de trente ans, belle et ambitieuse, Élodie Sea est assistante de direction. Pendant son règne, elle mènera campagne pour les bienfaits des produits Dove destinés aux peaux noires en général. Mais elle compte surtout mettre en avant le concept de la beauté africaine. Pour elle, la beauté est d’abord un état d’esprit. « À toutes les Africaines, ... Lire la suite
Les mots de la langue française ne veulent pas dire partout la même chose, au Congo plus qu’ailleurs
À l’académie congolaise du bien-parler, qui n’existe pas, il y a un mot assez intrigant dans le sens que le Congolais lui donne : valisette. C’est un mot qui a la côte maximum à la bourse des mots (qui n’existe pas encore, mais il ne faut désespérer de rien !), le mot valisette jouit du meilleur rendement qualité-usage. D’autant que la rentrée scolaire, les voyages en autobus ou en train, en avion ou en bateau nous renvoient invariablement désormais à la fameuse valisette.
C’est un accessoire devenu incontournable. Dans la bouche des enfants, des personnes adultes, des femmes et des hommes (d’affaires ou non) il est devenu l’instrument d’une modernité absolue. « As-tu acheté ta valisette ? », « où est passée ma valisette ? », « combien ... Lire la suite
Le pavillon angolais à l’exposition universelle de Milan entend traduire le désir d’un État qui veut renaître aussi par toutes ses cultures.
Parmi les cent quarante-sept pays qui ont annoncé à ce jour leur participation à l’exposition universelle de Milan, l’Angola est l’un des tout-premiers. Il est le 47e pays à avoir annoncé sa participation le 9 mai de l’an dernier. Cela, plus le fait que le pays qui s’installe dans les heureuses perspectives d’une économie en forte croissance suscite l’attention de beaucoup d’investisseurs en Italie. C’est d’ailleurs avec le partenariat du géant pétrolier ENI que le pays a annoncé ces derniers jours d’autres fabuleuses découvertes d’hydrocarbures au large de ses côtes.
Mais la participation angolaise à l’Expo 2015 n’entend pas se focaliser sur le pétrole quoique le thème central de cette ... Lire la suite
Congolaise des deux rives, Marie Rims est la coiffeuse chez qui de nombreuses femmes de la diaspora se pressent pour arborer les dernières coupes à la mode. Une papesse de la beauté noire à Paris qui n’oublie en rien d’être une dame de cœur, puisqu’elle vient en aide aux orphelins de Kinshasa, souvent avec le concours de ses clientes. Entretien
Comment vous êtes-vous lancée dans la coiffure ?
Tout a commencé quand le père de mes enfants qui me voyait me coiffer a décidé de m’ouvrir un salon de coiffure. Après notre séparation, je me suis lancée toute seule. J’avais le financement grâce à mes économies, et certaines clientes m’ont suivie. J’ai créé un nouveau concept, et grâce au bouche-à-oreille cela a pris de l’ampleur. Cela fait quatre ans que j’ai ouvert à mon compte, mais cela fait dix ans que je suis dans la coiffure. Pour rester dans les ... Lire la suite
Qu’elles donnent une réceptivité complexe ou très chic, ses collections sont d’une élégance unique. Elles traduisent un parfait équilibre entre une mode éternelle et une autre éphémère
Née à Rome, en Italie, Stella Jean est une styliste chevronnée originaire d’Haïti et d’Italie. Son style reflète et évoque ses origines dans lesquelles s'entrelacent et fusionnent deux cultures contrastées.
Stella Jean définit la mode comme un traducteur culturel et un outil contre la colonisation servant à rétablir l'équilibre entre les symboles, l’histoire et les différents mondes par leurs styles.
Elle a débuté sa carrière comme modèle avant de devenir son propre mentor. Son travail en tant que modèle lui a donné un aperçu précieux de l'industrie de la mode qui lui a permis de façonner son propre style. C’est en 2011 qu’elle a été lancée avec le ... Lire la suite
Tétou est son nom d’artiste, et Tamacali sa marque de fabrique
La créatrice malienne Tétou découvre son attirance pour les perles au hasard d’une visite avec des amis au marché NGolonina où se côtoient de nombreux marchands des divers produits que l’on trouve en terre malienne. Ces perles, qui appartiennent à son royaume d’enfance, la créatrice en fera une passion et son gagne-pain. Elle confesse : « Un jour, j’ai osé acheter des perles, m’asseoir pour les enfiler et concrétiser ainsi mes rêves tout en me faisant plaisir. » Depuis, Tétou a quitté carrière et emploi dans une multinationale après un DEA en langues pour mettre sur pied sa propre entreprise. Loin de le regretter, elle semble dire à ceux qui hésitent : « Allez au bout de vos rêves, suivez votre instinct et vos talents ! »
« Mon combat en tant que femme, dit-elle, est d’abord de me ... Lire la suite
Érik Schaix évolue dans le monde de la mode depuis 37 ans. Installé dans ses ateliers rue Saint-florentin, tout près de la place de la Concorde à Paris depuis 28 ans, il habille les premières dames africaines depuis 17 ans. Entretien
Comment avez-vous commencé à travailler avec une clientèle africaine ?
J’avais travaillé par le passé pour une première dame africaine lorsque je n’étais pas mon propre patron. Lorsque j’ai créé ma maison, j’ai pensé à la recontacter, ignorant que le chef d’État avait entre-temps divorcé. Je me suis donc adressé à la seconde épouse, et celle-ci a répondu présente. Lorsqu’elle a vu mes créations, elle a demandé l’exclusivité de la marque pour tout le pays de façon à ce que je n’habille personne d’autre qu’elle et est restée ma plus importante cliente jusqu’à son décès. C’est elle qui m’a fait ... Lire la suite
