Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
RetardMardi 25 Février 2014 - 0:06 Le retard dont il est ici question concerne les élections locales dont le top de départ n’a toujours pas été donné, ce qui commence à inquiéter les observateurs de la scène politique congolaise. Sans doute n’est-il pas si grand que l’on puisse s’interroger sur le respect, par les pouvoirs publics, des procédures électorales prévues dans le cadre de la Constitution ; mais il commence à peser dans le débat public et, ne serait-ce qu’à ce titre, il mérite quelques précisions. Nous savons bien pourquoi le scrutin local a été retardé et relatons avec suffisamment de détails, dans les colonnes de ce quotidien, les difficultés qui ont accompagné le recensement administratif spécial pour que nos lecteurs sachent à quoi s’en tenir. Mais le temps passe vite, et une certaine inquiétude, qui n’est pas feinte, se fait jour au sein de la classe politique concernant le retard pris par le processus électoral. Cela résulte de deux raisons très matérielles qui se conjuguent : Compte tenu de ce qui précède, il serait bon que l’État dise rapidement et de façon claire quand il sera en mesure de convoquer les électeurs. La rigueur avec laquelle il a conduit le recensement administratif spécial n’étant pas discutable même si ici et là des voix affirment le contraire, il a la légitimité nécessaire pour préciser le calendrier que tout le monde attend désormais avec impatience. Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) |