Art pictural : des expositions temporaires sur le bitotisme attendues en Afrique subsaharienne

Les expositions temporaires que souhaite faire Stéphane Konso de sa collection d’œuvres d’arts en Afrique subsaharienne aura pour buts de faire découvrir en Afrique subsaharienne son art, son style le "Bitotisme" ; d’introduire l’exposition temporaire en Afrique subsaharienne pour la première fois par un Africain, artiste peintre plasticien et collectionneur d’œuvres d’arts ; de faire découvrir, de faire connaître et de faire comprendre à la jeunesse africaine subsaharienne la place qu’occupe l’art dans les marchés mondiaux ; d’apprendre à cette jeunesse comment donner de soi-même les valeurs de côte des œuvres d’arts africaines ; de lui approcher la connaissance de l’art d’ailleurs ; de l’inciter à avoir la passion dans l’art. « Je cherche un(e) partenaire financier(ère) pour un partenariat d’affaires, afin de mener les expositions temporaires de ma très belle collection d’œuvres d’arts qui contient ma réalisation dans mon style pictural le "Bitotisme" et les valeureuses œuvres d’arts des artistes européens du XIX^e siècle, et du monde. Pour une tournée dans toutes les grandes villes des pays d’Afrique subsaharienne. biblbant@yahoo.fr, tel est mon adresse e-mail », a-t-il lancé appel au partenaire.

En créant un style nouveau, Stéphane Konso a développé une idée pédago-artistique originale qui renouvelle radicalement l’art-pictural. Son œuvre est un message tout en fraîcheur adressé au monde entier. Son nouveau style ne se contente pas de s’inspirer des statuettes, des géométries et des masques africains, comme l’ont fait Pablo Picasso et le cubisme. L’artiste pousse la créativité plus loin, en insufflant une nouvelle vie, une nouvelle âme à ses statuettes, géométries et masques. Le résultat est d’une incroyable beauté, d’une puissance insoupçonnée. Son ambition est de provoquer l’héritage de valeurs des chefs-d’œuvre de l’art de l’Afrique millénaire, afin que ceux-ci dialoguent sur des thèmes qui eux sont contemporains. Notons que la collection de Stéphane Konso est constituée des œuvres d’arts de sa propre réalisation ainsi que celles des artistes européens et du monde du XIX^e siècle.

Un artiste talentueux et ambitieux venu du cœur de l’Afrique

Né en République démocratique du Congo (RDC), Stéphane Kon’sozeyidio-Tshikatuka dit Stéphane Konso a été très tôt et pendant de longues années initié à la culture et à l’art par les grands maîtres congolais. Auprès de ceux-ci, il a appris à observer la nature, à exercer son œil au contact direct avec les créations ancestrales de l’art africain. Apprentissage capital, car nul ne peut exceller en peinture s’il ne sait d’abord voir. Arrivé en Europe (France), il a continué sa formation auprès de la technicité occidentale. Tout en exerçant divers métiers, notamment la conception technique et graphique à la Chambre de commerce et de l’industrie de Paris, l’école de l’Image « Les Gobelins », la sérigraphie, la musique.

En 1990, il crée « Bois noir », une marque de vêtements. En 2002, il crée « Bantu Europe », une organisation non gouvernementale (ONG) dont le but est d’établir des liens culturels entre l’Europe et le monde bantu. Toujours prêt à venir en aide, Stéphane Konso a fait des dons financiers aux enfants en difficultés de l’association « Cent familles de Clichy-la-Garenne », ville de la banlieue de Paris. Il leur a aussi offert des lots de vêtements de la marque Bois noir, ainsi que près de deux cents compacts discs de sa réalisation intitulée « Opakalama ». Il a offert une de ses toiles à cette association et un autre à la mairie de Villeneuve-la-Garenne. Il a fait aussi des dons de centaines de ses compacts discs à la fondation Hôpitaux de Paris, à la fondation Jacques-Chirac. Depuis 1988, il prend en charge la scolarité de nombreux enfants en RDC et au Bénin. Il a fait divers dons à plusieurs autres ONG, notamment en faveur du Bénin et du Mali. Toute l’activité du peintre Stéphane Konso est imprégnée de la philosophie suivante qu’il exprime lui-même : « La culture, l’échange culturel sont un frein à la violence. La culture a une place primordiale dans ma vie. Mon éducation s’est faite sur ce schéma. Mon but a toujours été de partager avec le plus grand nombre cette philosophie qui fait de moi un homme en paix, une plus grande ouverture d’esprit, un échange cordial des cultures touchant directement l’homme pour voyager dans ces univers qui sont les miens, en garder de bons souvenirs. J’aimerais que le bitotisme et mes œuvres rassemblent les peuples et les cultures pour un monde meilleur. »