Art-Culture-Média
« La première diva africaine », selon e-Time Magazine ; « La reine de la musique africaine », pour le Daily Telegraph : on ne présente plus Angélique Kidjo !
Eve n’est pas seulement un hommage à la première femme, c’est aussi le nom de sa mère. Ce nouvel album, Angélique Kidjo le dédie à celle qui lui a donné la vie et le goût de la musique, mais aussi à toutes les femmes et au pouvoir de la féminité. La chanteuse béninoise chante à travers seize nouveaux titres celles qui font la fierté, la beauté, la force et l’influence de la culture africaine dans le monde. Appuyé par des chœurs féminins issus de plusieurs villages du Bénin et du Kenya, ce nouveau disque produit par Patrick Dillet a été composé avec un amour et une passion certaine pour la musique. L’artiste s’est entourée de musiciens dont la réputation n’est plus à faire. Parmi eux, le ... Lire la suite
Des femmes africaines de différentes nationalités résidant depuis plusieurs années à Hainaut (Belgique) ont créé il y a cinq ans le festival Afri-Culture dans le but de favoriser et valoriser leur intégration dans la société belge et promouvoir la culture africaine dans les pays étrangers
Constitué d’un groupe de femmes issues de l’immigration subsaharienne, ce festival offre une occasion à ces femmes de promouvoir la culture africaine et mettre en lumière le processus de l’intégration des femmes africaines dans un pays étranger.
Afri-Culture réunit chaque année depuis sa création pendant une semaine des Africains exerçant dans divers domaines, notamment la sculpture, la peinture, la musique, la danse, la gastronomie, le théâtre, et bien d’autres.
La dernière édition de ce festival a connu la participation de nombreux artistes africains, parmi lesquels, ... Lire la suite
Avec son visage à l'expression changeante, affichant tantôt l'insouciance d'une ado de son âge fan de Beyonce, tantôt la dureté, résultat des années passées dans les rues de Kinshasa, Rachel Mwanza, ex-enfant-sorcier, ex-shégué, s'exprime avec passion
Son cri du coeur : un appel à la conscience des Congolaises et des Congolais sur le sort qu'ils font subir à des miliers de petits innocents accusés de sorcellerie, mis au banc de la société et désignés comme boucs émissaires faciles des malheurs de leurs familles. Autant de vies sacrifiées et de talents gâchés pour ces promesses d'avenir livrés à l'enfer de la rue dès le plus jeune âge. Car si Rachel a pu s'arracher à la vie que le monde essayait de lui imposer pour finalement vivre sa destinée en devenant une actrice internationale, qui subvient aux besoins de sa famille et porte haut les couleurs de son ... Lire la suite
Plusieurs passants et habitants du quartier ex-20 Mai se sont imposés un arrêt devant les quinze tableaux de peintures sur papiers du Collectif Néo-ngongisme exposés fin décembre sur l’avenue située derrière le Stade Tata Raphaël.
Nzoto na nzoto ou corps à corps était l’expression trouvée par le Collectif Néo-ngongisme pour décrire la démarche qui avait motivé l’organisation de cette exposition au beau milieu de la rue. C’est par souci de ramener l’art dans la cité, nous a expliqué Bongenya, le plus représenté des trois plasticiens exposants dont les peintures ouvraient l’exposition. Le jeune diplômé de l’Académie des Beaux-arts prenait plaisir à présenter ses sept œuvres, toutes réalisées sur papier de format A0. Elle porte le mystère, la première, qui s’imposait au regard de tous, était une peinture faite de feuilles de patates ... Lire la suite
Mbuyamba Lupwichi, président du Conseil africain de la musique (CAM), directeur de l’Observatoire des politiques culturelles en Afrique, s’est entretenu le 14 janvier avec Lydie Pongault, conseillère à la culture et aux arts du président de la République, sur l’ensemble des activités qu’il compte mener en 2014 et sur le fonctionnement du CAM
Les deux personnalités ont longuement parlé du rôle que joue le CAM dans le développement général de l’art musical d’un pays et au-delà en Afrique. Le président du CAM a retracé l’historique de cette structure ainsi que les initiatives qui contribueront au développement global de la coopération musicale internationale.
Mbuyamba Lupwichi a esquissé un programme d’action qui s’exécutera en différentes phases : l’information, la formation, la promotion. Il est prévu un programme d’initiation à ... Lire la suite
Créée par Kany Diaye, une entrepreneure d’origine sénégalaise, Melty est une boutique de mode, conçue pour promouvoir et diffuser le savoir-faire des créateurs de la mode africaine à travers le monde
Après avoir vécu dans de grandes villes cosmopolites, notamment New-York, Londres, Paris et Dakar, Kany a eu l’idée de créer un concept varié de la mode imprégné de sa double culture africaine et occidentale, pour valoriser et favoriser le métissage culturel, qui est l’une des valeurs de cet établissement sur la scène de la mode internationale.
Avec des stylistes comme Louise Engomé-Njamen, fondatrice de la marque Chrystalix, une ligne de vêtements à base de raphia et de soie, son oeuvre est basée sur la valorisation du savoir-faire artisanal. Ses créateurs se positionnent sur le marché haut de gamme de divers styles du plus traditionnel au plus moderne, des ... Lire la suite
Boniface Mongo Mboussa, écrivain et critique littéraire, et Jean-Noël Schifano, éditeur de la collection Continents noirs chez Gallimard, sous la modération du poète Gabriel Okoundji, ont permis au public parisien de re-découvrir le monument de la littérature congolaise, Thicaya U Tam'si, surnommé « le Rimbaud noir », au cours d'une soirée organisée le 14 janvier à la Librairie-Galerie Congo à Paris
Tchicaya U Tam'si, dont les œuvres complètes de poésie viennent d'être éditées aux éditions Continents noirs (Gallimard), est revenu parler à un public parisien de connaisseurs, venu assister à la rencontre organisée par la Librairie-Galerie Congo mardi 14 janvier à Paris. Dans le public, on a pu distinguer l'écrivain Jacques Dalodé, Arlette Chemain et Jacques Chevrier, professeurs émérites de littérature et grands connaisseurs de la littérature ... Lire la suite
Le film de la réalisatrice congolaise Annette Kouamba Matondo De quoi avons-nous peur a reçu le prix du jury lors de la clôture, le 12 janvier, de la première édition du festival du film des femmes africaines Tazama
De quoi avons-nous peur était en lice avec trois autres films documentaires, Les Bantous de la capitale de Noëlle Ntsiessie-Kibounou, La cité de l’amie sécrète de Fify Solange Kabeya Lukuba, Les traces de Clarisse Muvuba.
Le film distingué par le prix du jury raconte la peur qui devient presque pathologique chez les Congolais de réclamer leurs droits, de dire ce qu’ils pensent, de livrer une information, bref de s’exprimer. Cette hantise empêchant la parole.
Trois autres femmes sont lauréates des trophées Heshima Award décernés par le festival Tazama pour encourager les femmes qui depuis plusieurs années excellent dans le septième art. Il ... Lire la suite
Le renouvellement des accords de coopération culturelle entre la Chine et le Congo, le lancement des activités annuelles du Conseil africain de la musique (CAM), ainsi que la participation de Jean-Claude Gakosso au Colloque international consacré au roi des Bamoun, ont fait l’objet de plusieurs audiences que le ministre de la Culture et des Arts a accordées respectivement à Gian Jian, ambassadeur de Chine au Congo, Mbuyamba Lupwichi, président du CAM, et Komidor Njimoluh, ambassadeur du Cameroun au Congo
Avec l’ambassadeur de Chine au Congo, Jean-Claude Gakosso s’est entretenu sur le protocole d’exécution de l’accord de coopération culturelle sur la période 2014-2016. « Cette année il y a la nécessité de renouveler un accord bilatéral dans le domaine de la coopération culturelle et donc je me suis entretenu avec le ministre en ce qui concerne la façon de ... Lire la suite
Un arrêt cardiaque aurait eu raison de Colombani wa Senga surnommé Mégaboule, le 9 janvier, à Paris alors que la sortie de son second album était imminente.
L’artiste dont l’orchestre Super Sonic, apprend-on, avait son siège à Banunu, un quartier connu de la commune de Matete, sera inhumé à Paris. Il a quitté ce monde à 50 ans. Rien ne présageait ce départ brutal car si l’on en croit www.afriquechos.ch il nourrissait d’heureux projets. « Au mois de décembre, on a vu Colombani Wa Senga, le poète, multiplier ses apparitions dans les médias en ligne pour annoncer la sortie imminente de son deuxième album intitulé La parcelle m’appartient », soulignait le journal en ligne dans son annonce de dimanche.
Pour l’univers de la chanson congolaise Colombani wa Senga est loin d’être un inconnu. Bien au contraire, il a à sa manière contribué à son succès. ... Lire la suite