Art-Culture-Média
La couronne a été portée à Princia Naveque Monica Ngoma, à l’issue de la soirée de l’élection Miss communale Brazza 2024, qui s’est tenue le 17 août, dans l’auditorium Denis- Sassou-N’Guesso du second module du mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza.
Organisée par Cultur’Arts Pro que préside Vanessa Flora P. Bitsoua, sous l’égide de l’association Vision femme et développement du Congo, l’élection Miss communale Brazza 2024 a mis aux prises quatorze candidates. Un moment de grâce, d’élégance et de glamour qui s’est tenu sur le thème « Femme : vecteur de développement des nations ». Il a mis en lumière la femme visant à célébrer non seulement la beauté, mais aussi l’entrepreneuriat féminin et son impact dans le développement de la société congolaise, contrairement à d’autres événements.
Durant pratiquement quatre heures, ... Lire la suite
Des jeux divers et de divertissement ont été présentés au Samu social par les membres du Cercle culturel pour enfants (CCE) de Pointe-Noire, à l’occasion de la fête de l'indépendance de la République du Congo, le 15 août.
L'activité dénommée "Foire des jeux itinérants de l’indépendance" a permis de faire éclore les qualités en sommeil des enfants en leur donnant l'occasion de développer l’adresse, la promptitude, l’endurance, l’habileté et la concentration…
Ainsi, sous la direction des encadreurs du CCE, les enfants du Samu social ont exécuté les différents jeux proposés à l’instar du jeu de quille avec des cannettes, du jeu de franchissement d’obstacles avec cerceau, du jeu d’attrape-ballon…Dans la bonne humeur et tous dans la joie, les enfants du Samu social se sont amusés la matinée avant la pause intervenue en milieu de ... Lire la suite
Comme à l’accoutumée, quelques sapeurs congolais de la diaspora ont été invités par le gouvernement à assister au défilé marquant le soixante-quatrième anniversaire de l’indépendance du Congo. Une occasion tout indiquée pour certains d’entre eux, notamment le chef de la délégation, le sapologue Ben Moukacha, de redresser les choses quant à la polémique née suite aux propos tenus contre leur mouvement par un célèbre écrivain franco-congolais.
Dans une récente intervention médiatique, le réputé écrivain franco-congolais Alain Mabanckou a indiqué que la Sape (Société des ambianceurs et des personnes élégantes) atrophie la jeunesse congolaise et n’apporte rien. Depuis cette intervention, les sapeurs de tout horizon, en commençant par ceux de la diaspora à l’instar de Jocelyn Armel alias Le Bachelor (patron de Connivences boutique), Norbat de ... Lire la suite
Un lot du guide pratique de la femme enceinte et de la femme allaitante a été remis, le 14 août au centre de santé intégré (CSI) de Siafoumou, dans le 5e arrondissement Mongo Mpoukou, par Alphonse Kikondi, président communal de l’Association congolaise pour le bien-être familial (ACBEF) à Victorine Bipoumbou, cheffe dudit CSI, en présence des partenaires et invités.
La remise du document est intervenue un mois après la cérémonie officielle de sa distribution qui fait partie de la seconde phase du projet "Kenguila mwana" (Prendre soin de l’enfant), lancé en 2020 par l’ACBEF, en partenariat avec la société Chevron Congo S.A.U. Cette phase 2023-2024 vise à distribuer le guide élaboré dans sa partie pilote, peu après la première en 2020-2022 qui a contribué à l’amélioration des connaissances de la jeune fille sur les méthodes contraceptives ... Lire la suite
Placée sur le thème « Sape : instrument de la promotion de la paix et de l’unité nationale », la huitième édition du festival de la Sape, organisée par l’administrateur-maire de l’arrondissement 5 Ouenzé, Marcel Nganongo, s’est tenue le 13 août en présence de la ministre de l’Industrie culturelle, touristique, artistique et des Loisirs, Lydie Pongault, et du ministre délégué chargé de la Décentralisation et du Développement local, Juste Désiré Mondelé, ainsi que de quelques diplomates en poste au Congo.
La particularité de la huitième édition a été le déroulement du festival sur la mythique et emblématique avenue André- Grénard-Matsoua, affectueusement rebaptisée “Les Champs Elysées” à Bacongo, le deuxième arrondissement de Brazzaville, contrairement aux sept précédentes éditions qui s’étaient déroulées sur l’avenue des ... Lire la suite
Auteur-compositeur prolifique, Josky Kiambukuta est un nom qui a marqué l’écosystème musical congolais. En 1977, grâce aux éditions populaires, il enregistre, sous la référence EP 030, « Fariya », un morceau qui a remporté un succès éblouissant.
La chanson parle d’un homme incapable d'avouer ses sentiments pour une femme. Il préfère se confier à Fariya pour soulager sa conscience, mais en vain. Car chaque nuit, ses pensées vont sans cesse vers celle qui l’envoûte. Fariya est le prototype d’une personne en qui on se confie afin qu’elle joue le rôle de négociateur. « Tongo etana se makambo. Fariya, ngonga ebeti mpona ba soucis, ayebaka te nalingaka ye mingi, nalandaka nde mouvement na ye, na boma nzonto likolo na ye, kasi nayebisa ye te ». Ce qui veut dire : « Quand le jour se lève, commencent les problèmes. Fariya, la cloche annonçant ... Lire la suite
Réalisé par le Congolais Hassim Tall Boukambou et sorti en 2015, le film documentaire « Révolutionnaire(s) » retrace, à travers des images d’archives, l’histoire de la révolution congolaise de 1963 jusqu’à la Conférence nationale souveraine de 1991.
Le titre du film documentaire congolais inédit « Révolutionnaire(s) » résonne comme le cri des manifestants des « Trois glorieuses » journées des 13, 14 et 15 août 1963 à Brazzaville, capitale de la République du Congo. En trois jours, le président Fulbert Youlou est renversé par un mouvement populaire qui sera pionnier du genre en Afrique au lendemain des indépendances.
Plus que la proclamation officielle de l'indépendance, le 15 août 1960, cet événement constitue l'authentique indépendance du pays dans les mémoires congolaise et africaine. La révolution se construit alors dans la violence politique ... Lire la suite
« Nouvelle vie » est le nouveau long métrage du talentueux réalisateur congolais Richi Mbebele qui sera successivement en avant-première en sa présence, les 24 et 31 août, à Canal Olympia de Pointe-Noire et Brazzaville. Comme l'indique le film, une nouvelle vie est non seulement une renaissance sociale pour les deux protagonistes, mais aussi un nouvel envol pour l'artiste et par ricochet du cinéma congolais.
« Nouvelle vie » n'est pas une ordinaire histoire de prostitution que le réalisateur Richi Mbebele raconte, mais c'est le récit de Gladys, une jeune femme qui tente inexorablement de sortir des mailles de la prostitution pour changer de vie. Elle fait la rencontre d'un artiste qui vient d'un milieu différent du sien et dont elle est secrètement amoureuse ; mais ils semblent rattachés par un passé sombre presque similaire.
Avec pudeur, le ... Lire la suite
Une ambiance singulière a prévalu le 13 août sur l'avenue Matsoua, à Bacongo, le deuxième arrondissement de Brazzaville. La 8e édition du festival de la Société des ambianceurs et des personnes élégantes (Sape) a cassé les codes en se déportant au berceau de cet art vestimentaire.
L’avenue requise pour la tenue du festival rappelle les époques où des artistes comme Papa Wemba, Ya Franckos, Jacques Moulélé, Jaques Tabazo, Akwiss, les Kiki la Mame, Emmeneya Kester et bien d'autres venaient exhiber leurs styles et atouts vestimentaires à Baba Boume. Le maire de l'arrondissement 5 Ouenzé, se souvenant de cette époque, a pensé qu'il était temps d'organiser cet événement sur cette avenue mythique. En effet, ce festival organisé habituellement à Ouenzé s'est déporté pour la première fois à Bacongo, confirmant une fois de plus le rôle traditionnel de ce ... Lire la suite
Grand auteur compositeur, une pépite d’or et virtuose de la rumba congolaise, Ntesa Dalienst a évolué successivement dans les orchestres Vox Africa, Festival des Maquisards, les Grands Maquisards et le TP Ok Jazz où ses titres sublimes ont secoué l’écosystème musical des deux rives du fleuve Congo au cours des décennies 1960 et 1970.
Né le 30 octobre 1946 à Kinsiona, dans le Bas-Congo, en République démocratique du Congo, Ntesa Dalienst commence ses études primaires en 1951 à l’école catholique Christ roi. Dès l’âge de 10 ans, il monte un petit orchestre de jeunes dénommé ‘’Motema Jazz’’ avec comme instruments des boîtes de conserve et des guitares de fabrication artisanale. Ensuite, il fréquente l’école des missionnaires catholiques à Kinshasa, dans la commune de N'Djili, où il leur est enseigné des chansons religieuses. Déjà choriste, ... Lire la suite