Art-Culture-Média
Monté sur la scène à l’invitation de New Jack, l’ami d’enfance d’Ekumani a pris le micro la nuit du 24 avril encouragé par le public venu assister à la commémoration de l’an 1 de la mort de la légende du quartier.
C’est aux alentours de 23h30 que l’Abbé Coco, présenté comme le père spirituel de feu Papa Wemba, a rejoint l’ex-sociétaire de Viva la Musica sur le podium pour une petite interprétation. Fort applaudie par le public homogène, jeunes et moins jeunes, agglutiné autour du podium érigé en plein couloir Madiakoko, l’intervention improvisée du prêtre catholique dans le tour de chant de New Jack était l’inédit de la soirée. Pour la circonstance, l’abbé Coco était vêtu d’une tunique brodée dont le motif du pagne était identique à celui de la célèbre chemise Dolce Gabbana que portait Papa Wemba à sa mort. Il s’est donné à ... Lire la suite
À l’heure où Conakry célèbre les 72 h du livre, Genève entame sa 31ème édition du Salon du livre et de la presse en célébrant à la fois sa place de choix sur la scène du livre francophone internationale et l’importance de ses liens avec le monde des médias. En même temps, Pascale Kramer et Boniface Mongo Mboussa, le duo des programmateurs du Salon africain, et Jacques Chevrier convient les visiteurs à une Afrique désirable
Rendez-vous littéraire incontournable, le Salon du livre de Genève se tient du 26 au 30 avril. Comme d’habitude, pour nos lecteurs, le coup de projecteur est braqué sur le Salon africain. Le duo de programmateurs a retenu un thème inhabituel : la mélancolie. Car, écrivent-ils dans le dossier de presse, « De tous les temps, l’Afrique a été perçue, et s’est donnée à voir et à lire, sous le prisme de la joie, du rire ». Et de ... Lire la suite
Pour leur retour en France, les voix de la forêt des musiciens et chanteurs du groupe congolais ont porté loin jusqu’à la résonnance de leur écho au Musée Dapper.
19 h 15, lundi 24 avril, le public a pris d’assaut la salle de spectacle de la rue Paul Valery à Paris, à quelques pas de l’ambassade du Congo en France. Dans l’arrière-scène, on entendait la résonnance du réglage des tambours.
Quelques instants après, Sorel Eta, l’accompagnateur du groupe, a surgi sur la scène pour présenter le déroulement du spectacle. Et comme à chaque tournée, le groupe est au complet. Ils sont bien six membres mais, « j’ai la moitié du groupe dont c’est la première prestation », précise-t-il.
Les lumières s’éteignent. La scène s’illumine avec une lumière clairsemée sur Emilie Koule et Espérance Moundanga comme les lueurs du soleil à travers la forêt ... Lire la suite
Pour leur retour en France, les voix de la forêt des musiciens et chanteurs du groupe congolais ont porté loin jusqu’à la résonnance de leur écho au Musée Dapper
19 h 15, lundi 24 avril, le public a pris d’assaut la salle de spectacle de la rue Paul Valery à Paris, à quelques pas de l’ambassade du Congo en France. Dans l’arrière-scène, on entendait la résonnance du réglage des tambours.
Quelques instants après, Sorel Eta, l’accompagnateur du groupe, a surgi sur la scène pour présenter le déroulement du spectacle. Et comme à chaque tournée, ils sont bien six membres mais, « j’ai la moitié du groupe dont c’est la première prestation », précise-t-il.
Les lumières s’éteignent. La scène s’illumine avec une lumière clairsemée sur Emilie Koule et Espérance Moundanga dont les voix polyphoniques, sans l’accompagnement d’aucun instrument, ... Lire la suite
La 7e édition du festival de théâtre scolaire, universitaire et de mode africaine a été lancée le 25 avril à l’Espace du trentenaire de Total E& P Congo à Pointe-Noire en présence de Marcel Poaty, conseiller socio culturel du maire de la ville ; de Fabien Obongo, directeur départemental des arts et des lettres de Pointe-Noire ; de plusieurs responsables concernés et hommes de culture de la ville.
Pendant cinq jours, près d’une dizaine de troupes théâtrales des écoles de la place vont prester à l’Espace du trentenaire, au Centre culturel Jean-Baptiste Tati Loutard, à l’Institut français de Pointe-Noire et à Sueco pour dire que le théâtre scolaire apporte aussi sa pierre à l’édifice aux côtés des autres arts, grâce au cercle des jeunes artistes créateurs (CJAC), initiateur du projet.
C’est sur le thème « Vivre pour un environnement ... Lire la suite
Prélude à la journée internationale du Jazz, célébrée dans le monde, les 28, 29 et 30 avril (selon les pays affiliés), le secrétaire général de la commission nationale de l’Unesco, Gabriel Bokoumaka, a suivi la restitution faite par les apprenants de la musique jazz, la semaine dernière au Centre de formation et de recherche en arts dramatiques (Cfrad) de Brazzaville.
Comme dans toutes les autres villes du monde, Brazzaville- ville créative de l’Unesco célébrera les 28, 29 et 30 avril la journée internationale du jazz. Pour la beauté de cette cinquième édition célébrée à Brazzaville, l’Unesco a offert des bourses d’apprentissage aux jeunes filles, garçons et autres adultes. Ces bourses ont été remises à l’association Kongo Ndulé jazz que dirige Fredy Mabanza.
A quelques jours de la célébration de l’événement, le secrétaire général de la ... Lire la suite
L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) et le Centre international de recherche et de la documentation pour les traditions et les langues africaines (Cerdotola) ont conjointement organisé une réunion technique de réflexion et d’échanges, le 24 avril à Brazzaville sur le thème « multiculturalisme et migration : une nécessité pour le développement des compétences interculturelles », destiné à l’éducation.
Cette réunion porte sur l’élaboration d’un référentiel à l’usage des enseignants, du personnel de l’éducation et des étudiants visant à promouvoir le respect de la diversité culturelle des droits humains et la dignité humaine en faveur des peuples migrants à travers la mise en valeur de leurs savoir et savoir-faire.
Plusieurs experts venus des différents ministères, institutions ... Lire la suite
Dans le cadre de cette édition du Festival international d’expression féminine (Fief) de la compagnie Issima qui se déroulera du 10 au 14 mai, un concours interscolaire de conte sera organisé le 6 mai au centre culturel Jean-Baptiste-Tati-Loutard.
Un atelier d’initiation des élèves au conte a été lancé le 20 avril et se poursuit jusqu’au 4 mai. Il devrait permettre aux enfants d’acquérir les notions de base et de mieux se défendre et affronter le concours, a expliqué Germaine Ololo, présidente de la compagnie Issima et directrice du Fief. « Nous avons clôturé les inscriptions le 31 mars, puis nous sommes passés à la phase d’identification des écoles participantes à qui nous avons remis le règlement du concours avant l’atelier d’initiation», a-t-elle dit. Cet atelier sera suivi du deuxième volet de formation en sonorisation de spectacle amorcée ... Lire la suite
La population kinoise, qui vit cette activité festive jusqu’au 29 avril, a été appelée à s’approprier cet évènement dont l’organisateur souhaite la pérennisation en vue de servir de miroir de la culture kinoise en particulier et congolaise en général.
Un carnaval motorisé a ouvert, le 22 avril, les activités du Festival Kin-Malebo (Feskim) qui se tient dans la capitale congolaise jusqu’au 29 du mois en cours. Le go avait été donné par le gouverneur de la ville-province, André Kimbuta Yango, à la Place du 30 Juin, la Gare centrale de Kinshasa.
Avant de couper le ruban symbolique, le maire de la capitale congolaise a recommandé le déroulement de ce festival entre les mains de Dieu. André Kimbuta a également souhaité longue vie à cette manifestation culturelle qui se tiendra désormais dans cette mégalopole.
Le gouverneur André Kimbuta Yango a, en effet, ... Lire la suite
La première édition du festival épitomé, nuit de la poésie dont l’ouverture a eu lieu du 22 avril à Brazzaville a été dédiée à Tchicaya U Tam’si, Jean Baptiste Tati Loutard et Sony Labou Tansi.
Organisée par l’Association Tchicaya U Tam’si pour la promotion du théâtre et le développement socio-culturel que dirige, Antoine Yirika, la première édition épitomé, nuit de la poésie a pour objectif de donner à écouter, d’apprendre à lire et à écrire des textes poétiques dans des ateliers, de se nourrir de l’expérience des autres aux travers des conférences débats.
Ce festival qui a pour slogan « Je suis propre devant la nuit » procède d’une obligation de rendre hommage aux illustres disparus. De 2005 à 2015, l’association Tchicaya U Tam’si avait également organisé des nuits pour rendre hommage à des auteurs comme Tchicaya UTam’si ... Lire la suite