Environnement
Un mémorandum d’entente entre les deux pays pour la protection de la biodiversité a été signé à Libreville au Gabon.
L'accord signé par les ministres de l’Environnement, Lee White pour le Gabon et Claude Nyamugabo Bazibuhe pour la RDC, vise à renforcer la coopération entre les deux pays dans les domaines de l’environnement, de la gestion durable des écosystèmes forestiers, de l’industrialisation de la filière bois, de la conservation, de la gestion des aires protégées, ainsi qu’en matière de lutte contre les changements climatiques, indique un communiqué. Il prévoit en outre la mise en place de programmes de renforcement des capacités techniques et scientifiques des États et des institutions partenaires dans les domaines précités. "Le Gabon dispose d’une expérience dans le domaine de l’environnement depuis près de 120 ans. Il y a beaucoup à ... Lire la suite
De nombreux quartiers de la ville océane manquent de l’eau de la Congolaise des eaux (LCDE). Cependant des ménages qui y habitent sont approvisionnés par des forages privés dont la qualité d’eau suscite quelques interrogations de la part des populations elles-mêmes.
Les plaintes de certains ménages qui, de plus en plus, ne cessent de constater que certains forages de la ville ne respectent pas les mesures d’hygiène qui conviennent afin d’offrir une eau de bonne qualité aux usagers, car ces eaux ont des dépôts quelquefois blanchâtres et certainement nuisibles à la santé. « C’est précisément depuis 2009 que nous buvons cette eau des forages. Mais le constat est qu'après l’avoir recueillie dans le récipient, elle laisse voir un dépôt, et nous nous demandons si la certification de la qualité de cette eau est faite. Autrement elle n'est pas bonne pour ... Lire la suite
Au cours des derniers mois, la communauté scientifique n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme au sujet de l’appauvrissement de la biodiversité et de l’urgence climatique. Les scientifiques et la plupart des gouvernements s’accordent à dire que le monde est confronté à une crise environnementale sans précédent : le nombre énorme d’espèces au bord de l’extinction et les températures mondiales continuent d’augmenter.
Les solutions fondées sur la nature offrent le meilleur moyen d’assurer le bien-être des êtres humains, de lutter contre le changement climatique et de protéger la planète. Pourtant, la nature est en crise : nous perdons des espèces à un rythme 1 000 fois plus élevé qu’à tout autre moment de l’histoire de l’humanité.
Les êtres humains dépendent d’écosystèmes stables et sains pour leur survie, il est urgent d’agir ... Lire la suite
2019 s’achève, il est donc temps de faire un petit bilan sur l’état de la planète concernant le climat. Et le moins que l’on puisse dire est que les mauvaises nouvelles continuent de s’accumuler dans le ciel déjà nuageux de l’urgence climatique.
Le premier constat est simple : l’humanité est incapable depuis 2010 de se montrer à la hauteur de l’urgence climatique. Les Etats les plus pollueurs ont collectivement échoué à infléchir la croissance des émissions des gaz à effet de serre. En conséquence, les pays devront réduire de 7,6% leurs rejets carbonés chaque année entre 2020 et 2030 s’ils veulent respecter l’objectif de l’accord de Paris de maintenir le réchauffement climatique à + 1,5 °C. Un effort deux fois plus important à fournir que s’ils s’étaient attelés à la tâche dès 2010.
Quand on note les Etats sur la question ... Lire la suite
C’est ce qu’a déclaré la ministre du Tourisme et de l’Environnement, Arlette Soudan Nonault, au cours d’une conférence de presse qu’elle a animée à Brazzaville.
De retour au Congo, après avoir pris part à la vingt-cinquième conférence des parties à la convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (25e COP), qui s’est tenue du 2 au 14 décembre à Madrid, en Espagne, la ministre du Tourisme et de l’Environnement a restitué ces assises à travers une conférence de presse.
Depuis près de 25 ans, la communauté internationale discute sur les voies et moyens pour lutter efficacement contre les effets néfastes des changements climatiques. Et l’Accord de Paris sur le climat signé à la COP 21 en 2015 a suscité un grand espoir dans ce sens. Tous les pays s’étant engagés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre à travers ... Lire la suite
Les pluies qui ne s’arrêtent pas de s’abattre sur la ville océane créent de nombreuses nids de poules sur les routes bitumées.
Le constat est fait par des Ponténégrins, surtout par des taximen qui disent que ces routes à nids de poule rendent leur travail difficile. Ils endommagent les amortisseurs de leurs voitures. « Parmi les taxes que l’on paie, il y a celles destinées à l’entretien des routes. Pourquoi certaines routes ne sont pas entretenues ? » s’est interrogé un taximan.
Presque toutes les artères de la ville ont des nids de poule, notamment l’artère qui va du port autonome dans sa portion, celle de la Caisse nationale de sécurité sociale jusqu’au niveau de la direction départementale du Commerce. Si une grande pluie s'abattait sur la ville, ce tronçon ne sera plus praticable. On trouve des eaux stagnantes sur les artères parallèles à ... Lire la suite
Le barrage hydroélectrique du pays est à sec. Et l'Afrique du Sud, premier fournisseur d'électricité (90%) a arrêté ses exportations.
La Zambie est victime de coupures d'électricité à cause d'une sécheresse que subit l'Afrique australe, plongeant les réserves d'eau du barrage hydroélectrique de Kariba (sud), la principale source d'énergie du pays dans l'incapacité de produire de l'énergie. Les turbines ne tournent plus qu'à 10% de leur capacité en Zambie.
Si le pays peut s'appuyer sur une centrale solaire de 54 MW et une centrale à biomasse de 43 MW, l'essentiel de son électricité est importée d'Afrique du sud. Les délestages d’électricité ralentissent l’activité économique et dérangent la vie quotidienne des habitants.
Les coupures d'électricité commencent à nourrir la colère de la population. Ces deux dernières semaines, des manifestations se sont ... Lire la suite
Le compte à rebours est lancé : dans moins d’une semaine, sera célébrée la Nativité, avec son réveillon copieux, ses cadeaux, ses lumières, la joie qui illumine le visage des enfants… mais aussi ses excès !
En cette période où inévitablement le consumérisme est roi, peut-on réellement espérer célébrer des fêtes éthiques et équitables ? Un Noël écolo et éthique, pour être en harmonie aussi bien en famille qu’avec notre environnement, est-il possible ? Bien entendu. Il suffit d’un peu de volonté et d’inspiration pour se faire encore plus plaisir.
A la découverte du furoshiki, l’art d’emballer les objets avec du tissu
Chaque année, du fait de la profusion de paquets, de papier et d’emballages que nous générons, les paquets cadeaux ont un impact écologique certain. Pour essayer de limiter cet impact, il y a une technique d’emballage ... Lire la suite
La rencontre initiée par Esi Congo, une association de conservation de la biodiversité, a regroupé des autorités et des représentants d'entreprises, le 17 décembre, à Pointe-Noire.
L’atelier a eu pour but d’instaurer et de faciliter une concertation entre les entreprises opérant dans le territoire de Kakamoeka, les autorités locales, départementales et les acteurs de la conservation sur la protection des grands singes, de la faune sauvage menacée et plus généralement de la biodiversité de la forêt du Mayombe.
«Le district de Kakamoeka fait partie de la zone du projet Conkouati -Dimonika et intègre le département du Kouilou. Il couvre sur une grande partie, la forêt du Mayombe qui est la limite sud-ouest des forêts du bassin du Congo. Ce massif forestier est un haut lieu de grands singes, notamment des gorilles des plaines de l’ouest et des chimpanzés... Lire la suite
Les organisations de conservateurs de la faune et la population locale du département de la Sangha se sont concertées récement à Ouesso pour la prise en compte et le respect des différents droits des communautés, condition de base pour la gestion inclusive de la future aire protégée.
L’atelier a été une phase décisive pour les représentants des administrations publiques, les délégués des sociétés forestières et ceux des ONG de conservation, de la société civile, des partenaires au développement, des communautés locales et d’autres experts sollicités pour consolider la gestion inclusive du massif forestier Messok-Dja.
Les participants ont préconisé d’exclure les terres traditionnelles des limites de Messok-Dja, de préserver l’accès aux sites sacrés et anciens villages ainsi que de poser les bases d’une gestion concertée des ressources ... Lire la suite