Environnement
La surexploitation d’espèces sauvages, animaux terrestres, poissons, algues, champignons, plantes ou encore arbres, menace le bien-être de milliards d’êtres humains, a dévoilé récemment un rapport de l’Organisation des Nations unies (ONU), qui donne des pistes pour leur usage plus durable et met en valeur les savoirs des peuples autochtones.
Des milliards de personnes dans le monde, aussi bien dans les pays développés qu’en développement, dépendent et bénéficient de l’utilisation d’espèces sauvages pour leur alimentation, la médecine, l’énergie, leurs revenus et beaucoup d’autres fins. En 2019, un premier rapport révélait qu’un million d’espèces étaient menacées d’extinction, une des principales raisons étant leur exploitation par les humains. Dans ce nouveau rapport, 85 experts des sciences sociales et naturelles et des détenteurs des ... Lire la suite
La ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Delphine Edith Emmanuel, accompagnée de quelques chercheurs congolais, a visité, le 11 juillet, le bateau de la fondation Tara Océan, spécialisé en recherche océanographique.
Comprenant marins et scientifiques, le navire Tara poursuit sa mission entreprise depuis avril dernier qui consiste à étudier les eaux de l’océan Atlantique peu connues des scientifiques. Cette mission devra permettre de mesurer la pollution plastique de cet océan. C’est ainsi qu’après le fleuve Orange, en Afrique du Sud, la Gambie et le Sénégal, la République du Congo va subir une série de prélèvements de plastiques et de microorganismes.
Selon la ministre, l’escale du navire Tara à Pointe-Noire montre que ce bateau représente un écosystème intéressant pour les ... Lire la suite
Pour l’aider à faire face au changement climatique, l'Union européenne va débloquer 1,29 milliard de dollars pour appuyer l’effort climatique, le numérique et l’agriculture dans ce pays d’Afrique de l’Ouest.
Le financement aidera le Nigeria à diversifier son économie, notamment dans l'agriculture et les énergies vertes et à renforcer ses avantages comparatifs dans ces domaines. « Le financement aidera l’Union européenne à parvenir à un développement à faible émission de carbone (…) créant des emplois pour les jeunes et favorisant la croissance économique », a déclaré l'ambassadrice de l'UE auprès du Nigeria et de la Cédéao, Samuela Isopi. C’était à l'occasion du 8e Business Forum UE-Nigeria. Il s’agit de financer 57 projets visant à réduire la vulnérabilité au changement climatique et la désertification, et à valoriser la ... Lire la suite
De nombreuses activités de sensibilisation à la protection des Océans seront organisées à Pointe-Noire, entre le 9 et le 15 juillet, à la faveur de l’escale qu’y effectuera la goélette « Tara », un voilier français destiné à la recherche scientifique et à la préservation de l’environnement.
Il est notamment prévu l’organisation par l’équipage à l’Institut français, en lien avec l’ambassade et l’ONG Renatura, de tables rondes, rencontres scientifiques, une exposition, une projection et une visite virtuelle de « Tara ».
Le 11 juillet, la ministre congolaise de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Edith Delphine Emmanuel sera sur le bateau avant une séquence presse animée sur le quai.
Selon un récent rapport du groupe international d’experts sur le climat (Giec), pour faire face au changement climatique, il faut que les humains changent leurs modes de vie au plus vite. Selon le document, il ne nous resterait que trois ans pour agir.
Un rapport du Giec publié cette année n’est guère rassurant. Ce document étoffé synthétisé en un résumé d’une bonne centaine de pages insiste notamment sur l’importance de changer nos modes de vie au plus vite, nos habitudes alimentaires par exemple, afin de faire face au changement climatique. Ces adaptations sont indispensables pour réduire l’émission considérable de gaz à effet de serre.
Le rapport préconise de consommer moins de viande. Car l’élevage d’animaux serait responsable de 14,5 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, et que la production de viande rouge représente 41 % des ... Lire la suite
La journée mondiale des forêts tropicales a été célébrée le 22 juin. Cette célébration a été l’occasion de rappeler à tous que le changement climatique, la perte de biodiversité et de nature, la pollution et les déchets, sont autant d'éléments qui montrent la nécessité d’un monde plus durable. Un élément clé de cette transformation est l’arrêt de la perte de la nature et la restauration des écosystèmes. Et peu d’écosystèmes sont aussi importants que les forêts tropicales.
Il faut savoir qu’il n'existe aucun moyen de limiter le réchauffement climatique à 1,5 degré, si on ne réduit pas les émissions des forêts à un niveau net zéro d’ici 2030 ou 2035 et si, dans le même temps, un processus massif de restauration des forêts pour éliminer le carbone de l’air n’est pas entrepris. Cette démarche est essentielle, parallèlement à la ... Lire la suite
L’institution consultative a formulé, le 1er juillet à Brazzaville, au terme de sa troisième session ordinaire, plusieurs recommandations dont la restauration des centres de prise en charge ou de rééducation, notamment celui de Louvakou et autres.
La suggestion émise à l’Etat fait suite à l’examen par les conseillers du dossier relatif à la délinquance juvénile dans les centres urbains du Congo. Outre la restauration des centres de rééducation juvénile, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) souhaite aussi l’activation des approches psychologique et sociologique et le renforcement de l’arsenal juridique ou législatif dont la loi Portella et autres. En effet, le CESE relève, dans son rapport que les "bébés noirs" désignent des gangs d’adolescents violents qui agressent, au moyen des armes blanches, les paisibles citoyens. Il ... Lire la suite
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) examine, du 29 juin au 1er juillet à Brazzaville, l’apport de l’Eglise dans la formation des jeunes, à la faveur de l’ouverture de sa troisième session ordinaire.
Différents rapports et avis de propositions des commissions seront adoptés par les conseillers. En clair, ils débattront des opportunités et défis du tourisme en République du Congo; du phénomène "bébés noirs"; de l’apport de l’Eglise dans la formation des jeunes de demain; de la consommation du bois de chauffe et du charbon ainsi que des impacts sur les écosystèmes terrestres et la santé humaine.
« Cette session va rendre compte de la vivacité de l’assemblée constitutionnelle et consultative (…), car le Conseil est préoccupé pour relever les défis économiques, sociaux et environnementaux. Une session est un moment ... Lire la suite
La Conférence des Nations unies sur les océans, qui s’est tenue du 27 juin au 1er juillet, pour rechercher des solutions scientifiques et innovantes afin d’améliorer la santé de nos océans, a réuni plusieurs participants. S’exprimant à l’ouverture de ces assises organisées conjointement par le Portugal et le Kenya, le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), Antonio Guterres, a formulé quatre recommandations visant à inverser le cours des choses.
Parmi les recommandations formulées, Antonio Guterres a souligné le besoin urgent d’investir durablement dans les économies dépendant de la mer. Il a déclaré qu’il espérait que la conférence représenterait un moment d’unité pour tous les États membres. Soulignant que l’océan « nous reliait tous », le secrétaire général a a révélé que, par complaisance, l’humanité ... Lire la suite
Pour chaque appel nécessaire lié aux conditions météorologiques de l’Organisation des Nations unies (ONU), les pays donateurs fournissent un dollar, selon Oxfam. Les pays à revenu élevé n’ont répondu qu’à environ 54% des appels depuis 2017, ce qui a entraîné un déficit de 33 milliards de dollars, selon les conclusions du rapport intitulé « Payer la facture ».
Le montant nécessaire pour les appels humanitaires de l’ONU impliquant des événements météorologiques extrêmes comme les inondations ou la sécheresse est aujourd’hui huit fois plus élevé qu’il y a vingt ans, et les donateurs ne parviennent pas à suivre, révèle une nouvelle étude d’Oxfam. Pour chaque appel indispensable lié aux conditions météorologiques, les pays donateurs ne fournissent qu’un dollar. Les appels annuels moyens de financement humanitaire liés aux conditions ... Lire la suite