Mois de mars : les femmes de Tchikapika ne sont pas restées en marge

Vendredi 21 Mars 2025 - 14:48

Abonnez-vous

  • Augmenter
  • Normal

Current Size: 100%

Version imprimable

Le député de la circonscription électorale unique de Tchikapika, Dorel Eyobélé, qui a séjourné dans cette sous-préfecture du département de la Cuvette du 13 au 18 mars, dans le cadre de la célébration de la Journée internationale des droits des femmes, a rappelé qu’aucun développement ne pouvait être envisagé actuellement sans associer la gent féminine.

Lors de son passage dans les trente villages de sa circonscription, le député a fait un don de 2500 pagnes à toutes les femmes du district. Partout où il est passé, Dorel Eyobélé a eu des échanges francs, fructueux et directs avec les femmes sur le thème de l'autonomisation de la femme congolaise en général et celle de Tchikapika en particulier. Selon lui, la question de l'autonomisation des femmes occupe une place de choix dans l'agenda 2030 des Nations unies.

« Nous pensons qu’investir dans l'autonomisation des femmes est essentiel pour éradiquer la pauvreté et favoriser une croissance inclusive. Cet échange appelle donc au renforcement des capacités des femmes de Tchikapika, à la responsabilité, à un engagement renforcé, à l'innovation et à la promotion du leadership féminin », a souligné le député.

En effet, d’après Dorel Eyobélé, la participation pleine et équitable des femmes dans tous les domaines de la société est un droit humain fondamental. Car, les femmes jouent un rôle essentiel pour surmonter les plus grands défis auxquels la société est confrontée aujourd'hui. « Elles doivent être entendues, valorisées et appréciées dans l'ensemble de la société afin que s'y reflètent leurs perspectives et leurs choix pour leur avenir et celui de l'humanité. Aucun développement ne peut être envisagé aujourd'hui en laissant les femmes de côté », a-t-il poursuivi.

Evoquant la loi Mouebara, l’élu de Tchikapika a précisé que ce texte garantit la protection des femmes sur de nombreux fronts et constitue une réponse pluridisciplinaire aux violences qui leur sont faites. « Nous encourageons les femmes à dénoncer sans crainte toutes formes de violence dont elles sont victimes », a conclu Dorel Eyobelé, saluant les réformes adoptées par le gouvernement sous la conduite « éclairée » du président de la République, Denis Sassou N’Guesso.

 

 

Parfait Wilfried Douniama

Légendes et crédits photo : 

1- Dorel Eyobélé s'adressant aux femmes de sa circonscription/ DR 2- Le député présentant les pagnes à ses mandantes /DR

Notification: 

Non