Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
ChoixMercredi 1 Novembre 2023 - 15:32 Le ministère des Sports a instruit les comités nationaux olympiques et paralympiques de prendre les dispositions pour la réussite, en fin de saison, des assemblées générales ordinaires et électives. Le renouvellement des instances dirigeantes des fédérations sportives congolaises pour les quatre prochaines années marque une étape déterminante dans la mise en œuvre de la politique de développement du sport. Le but étant de rendre ces organisations plus dynamiques. Attendu qu’une fédération sportive vaut par sa capacité à développer la discipline sur toute l’étendue du territoire national, former les cadres techniques et remporter les médailles dans les compétitions internationales. Cependant, le dynamisme dont font preuve certaines de ces structures masque à peine les faiblesses observées dans la résolution des conflits internes qui tirent leur origine des questions d’éthique et de gestion financière. Le développement tant souhaité s’en trouve remis en cause quand les intérêts personnels prennent le dessus sur la cohésion du groupe. Il est dommageable de voir passer toute une olympiade sans que le vélo ne roule sur les artères des villes congolaises. La Fédération congolaise d’Athlétisme n’a, en effet, pas été épargnée par la crise post électorale d’où la difficulté à organiser des compétitions au niveau national. Les fédérations sportives doivent désormais repousser leurs propres limites dans le choix des hommes et des femmes capables de faire progresser leurs associations sportives. L’expérience a montré que les candidatures imposées sont source de mauvais résultats. Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) Notification:Non |