Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
Bilan 1Jeudi 26 Décembre 2013 - 3:00 Sacrifions à la tradition et dressons le bilan de l’année qui s’achève, tel que nous-mêmes, simples observateurs de la scène nationale et internationale, nous le percevons. Premier constat : le Congo n’a pas cessé de progresser au cours de ces douze mois. Avec, bien sûr, des hauts et des bas, des heurs et des malheurs, des faits positifs et des faits négatifs, mais avec aussi, indiscutablement, des avancées qui permettent aux citoyens que nous sommes d’espérer que l’année 2014 sera elle aussi une année faste. Disons, pour faire simple, que 2013 a tenu l’essentiel de ses promesses pour ce qui concerne l’amélioration des conditions de vie du peuple congolais. Cela ne veut pas dire que tout est bon dans le meilleur des mondes, mais seulement que les changements attendus en ce qui concerne le niveau de vie, la protection sociale, la formation des nouvelles générations, la modernisation des grandes infrastructures se sont effectivement produits. Ses finances publiques remises en ordre au terme de quinze années de rigueur, le Congo a pu se lancer sur la voie du progrès social. Et même si celui-ci est jugé, à juste raison, trop faible par certains, il est indiscutable, comme le constate la communauté internationale par le biais des différentes institutions présentes dans notre pays. Remarquons, avant d’aller plus loin, que cette avancée a été rendue possible par le soin constant que les plus hautes autorités de l’État n’ont cessé d’accorder aux questions de sécurité intérieure et extérieure. Que ceux qui en doutent considèrent ce qui se passe à notre porte, en République démocratique du Congo comme en République centrafricaine où la paix demeure menacée, parfois même fortement troublée en dépit des efforts accomplis pour la restaurer. Certes, Brazzaville a vécu quelques heures difficiles en cette fin d’année lorsque le bruit des armes s’est à nouveau fait entendre dans l’un de ses quartiers, mais force est de reconnaître que la paix règne sur toute l’étendue du territoire et que, de ce fait, tous les progrès sont possibles. C’est très précisément ce que les mois à venir devront confirmer (à suivre). Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) |