Économie
La troisième édition de la quinzaine commerciale des produits locaux a été lancée officiellement ce jeudi 24 juillet à la Chambre de commerce de la ville océane. Unique rendez-vous annuel du genre dans la ville, il permet aux populations de découvrir et surtout de consommer bio
Les activités agro-pastorales constituent l’une des priorités du gouvernement congolais. Plusieurs associations et groupements luttent également à son côté afin de réduire l’écart constaté et surtout, d’augmenter la production locale. C’est dans ce sens que la Chambre de commerce de Pointe-Noire et le réseau des éleveurs et agriculteurs du Congo (Réac), organisent cette activité afin de demander aux producteurs locaux d’augmenter leur production.
Malheureusement, beaucoup reste à faire sur le terrain. Car de nombreux producteurs locaux sont confrontés aux problèmes fonciers, ... Lire la suite
La société minière, filiale de Sundance Ressources, qui a son projet de minerai de fer entre le Congo et le Cameroun, dispose d'une description du projet Nabemba-Mbalam. La viabilité de ce projet est déterminée par la fiscalité
La convention d’exploitation signée contient toutes les indications des termes devant régir la commercialisation du projet auprès des investisseurs. Les ministres des Finances, Gilbert Ondongo, des Transports, Rodolphe Adada et celui des Mines et de la Géologie, Pierre Oba, ont paraphé le 24 juillet à Brazzaville, le document conjointement avec le directeur général de Congo Iron, Aimé Emmanuel Yoka. « Il est question des avantages fiscaux et douaniers que nous accordons à la société pour la réussite de ses activités en République du Congo », a déclaré Gilbert Ondongo.
En termes d’investissement, Congo Iron aspire atteindre les ... Lire la suite
Ainsi s’est exprimé hier mercredi 23 juillet, le directeur départemental de la formation qualifiante et de l’emploi à Pointe-Noire et au Kouilou, au cours de l’interview qu’il a bien voulu accorder aux Dépêches de Brazzaville
Les Dépêches de Brazzaville : Depuis votre prise de fonction, quelles sont les difficultés rencontrées dans le fonctionnement de ce département ?
Servais Packa : Comme toute structure qui vient de naître, nous éprouvons quelques difficultés liées aux installations des bureaux, et cela a un impact sur le fonctionnement normal des différents services de ce département. Il y a aussi le problème des moyens roulants qui font défaut à ce département.
LDB : Quelles sont les missions assignées à un directeur départemental de la formation qualifiante ?
S.P. : Un directeur départemental a notamment pour responsabilités : de concevoir un ... Lire la suite
Une fois réalisé, ce projet d’intérêt communautaire, dont les offres ont été dépouillées le 23 juillet à Brazzaville, permettra de desservir de manière régulière toute la ville de Gamboma en eau potable et de bonne qualité, conformément aux Objectifs du millénaire pour le développement
Financée par le budget de l’État dans le cadre des projets retenus par la municipalisation accélérée de ce département, la construction du système d’adduction de Gamboma, dans le département des Plateaux, fait l’objet de deux lots.
Le premier lot des travaux concerne la construction de la station de captage d’une capacité de 180 m3 par heure ; la construction des pistes d’accès aux ouvrages ainsi que la construction et l’équipement d’une station de traitement d’eau potable.
Il faut ajouter à cela la fourniture et la pose des canalisations de refoulement ... Lire la suite
Depuis le début des travaux de construction des échangeurs, les ceintures maraîchères du nord au sud ont été complètement détruites. L’approvisionnement notamment en légumes est devenu un casse-tête pour les commerçantes. D’où la rareté et la cherté des produit sur le marché
Les quelques champs qui résistent encore dans la zone nord ne suffisent pas à la demande des consommateurs. Ces ceintures maraîchères alimentaient tous les marchés de Brazzaville. Du coup, des champs aux marchés, les prix ont doublé voire triplé.
« Le sillon de légumes qu’on achetait à 10 000 FCFA ou 15 000 FCFA est actuellement vendu à 30 000 voire 35 000 FCFA. Comme je ne peux pas acheter à ce prix, je suis obligée d’aller m’approvisionner au marché Total où je peux trouver un petit paquet à 700 FCFA », explique une commerçante du marché Massa, exprimant son ... Lire la suite
La réunion de concertation qui s’est tenue le 23 juillet avec les bureaux de change et les cabinets comptables au ministère du Plan constitue une étape importante avant l’évaluation à laquelle sera soumise la République du Congo en septembre prochain
L’Agence nationale d’investigation (Anif), organe destiné à lutter contre le phénomène du blanchiment d’argent, voit dans cette réunion de concertation un engagement commun fort qui doit se faire sur la base d’une confiance mutuelle. « Il ne faut pas que l’économie souterraine dépasse l’économie réelle », a martelé le directeur général de l’Anif, André Kanga, à l’endroit des participants. Et de relever : « Les bureaux de change et les commissaires aux comptes sont soumis au règlement. Qu’entend-on par blanchiment d’argent ? Toute somme d’origine illicite qu’on peut injecter dans le ... Lire la suite
La visite de travail de Makthar Diop, qui est en charge d'un total de quarante-huit pays africains et du financement de près de cinq cents projets, est prévue du 24 au 28 juillet dans la capitale congolaise.
Au cours de son séjour, le vice-président de la Banque mondiale (BM) pour la région Afrique, Makthar Diop, aura des échanges avec les autorités du gouvernement de la République, la société civile et les partenaires au développement. Le programme prévoit aussi un déplacement sur le site d’Inga, dans le Bas-Congo, où la BM a accordé un don de 73,1 millions de dollars américains pour une assistance technique dans le projet hydro-électrique Inga III Basse Chute (BC) et d’autres sites de taille moyenne. Ce vaste projet qui concerne, il faut le rappeler, le troisième plus grand barrage hydro-électrique du monde, après ceux de la Chine et de la Russie, ... Lire la suite
Le processus qui conduit de l’obtention d’un permis à la signature de la convention d’exploitation, dans le secteur minier, est complexe et sensible. Dans cette interview exclusive avec Les Dépêches de Brazzaville, le directeur général des mines, Louis Marie Joachin Djama pense que les négociations dans ce domaine n’obéissent à aucun timing
Les Dépêches de Brazzaville : combien de sociétés aspirent à signer une convention d’exploitation ?
Louis Marie Joachim Djama : Il s’agit des sociétés qui ont demandé un permis d’exploitation. Tant qu’on ne l’a pas fait, on ne peut pas espérer aller à la production, il n y a pas lieu de convention. Et donc il y a des sociétés qui ont déjà obtenu des permis d’exploitation mais les conventions ne sont pas encore signées, c’est le cas de Core Mining qui détient un permis depuis deux ans même si la ... Lire la suite
La nouvelle entreprise va ainsi acquérir la Compagnie de développement du nord (Codenord), laquelle compagie produisait du coton pour le compte de la Société textile de Kisangani (Sotexki).
Le gouvernement provincial de la Province Orientale est déterminé à relancer la culture du coton et à attirer des investisseurs pour rendre concret ce projet. C’est ainsi qu’il vient de naître dans cette province la Société agricole du Bas-Uélé dont la tâche serait de produire cette matière.
Le ministre provincial du Plan, Armand Kasumbu Mbaya, qui s’est exprimé sur la radio Okapi, a indiqué que le gouvernement provincial veut non seulement assurer l’approvisionnement en coton mais aussi trouver des marchés et faire du lobbying pour trouver des débouchés.
« Si les autorités de Kinshasa nous entendent, qu’elles nous soutiennent pour que la Sotexki puisse avoir le ... Lire la suite
Les commerçants exerçant la vente de ciment au sein des dépôts de référence, institués par le ministère du Commerce et des Approvisionnements, ont arrêté leurs activités depuis cinq mois
Les 420 commerçants pointent du doigt la Société nouvelle des ciments du Congo (Sonocc) qui, de manière unilatérale, a coupé la livraison depuis peu. Cette situation qui perdure les préoccupe amèrement, car à travers ces 40 points de vente, près de 400 chefs de famille sont mis à mal et plus de 1.000 emplois directs et indirects sont réduits à néant (gérants, transporteurs, etc.). « La Sonocc qui est notre partenaire a décidé de ne plus livrer de ciment ; sous prétexte qu’il y avait une taxe sur la valeur ajoutée que l’État imposait à l’entreprise et que celle-ci ne pouvait être déversée auprès du commerçant. Donc elle voulait l’augmentation du prix ... Lire la suite