Art-Culture-Média
Les orchestres Kingoli, version originelle, et la chorale Saint-Denis de Makoua vont se produire pour la seconde fois sur la même scène, le 27 novembre, à la mairie de Ouenzé, dans le 5e arrondissement. Une confrontation loyale comme celle du 16 octobre dernier où le public avait pris d’assaut le dancing bar Music hall ( ex-Top 50) à Mikalou Talangaï.
Le concept « fara-fara » initié par les établissements MA vise l’unification et la promotion de la culture congolaise. Pour mettre en musique ce nouveau concept, les établissements MA ont amorcé une série de concerts musicaux d’abord à Brazzaville, puis à Pointe-Noire, dans la Sangha et la Cuvette. Le 1er fara-fara a mis aux prises Kingoli et la chorale Saint-Denis de Makoua de Pamphile Ibambo. Un spectacle inédit a été donné par les deux orchestres ovationnés par le public venu nombreux.
Pour la seconde fois, ... Lire la suite
Pour tolérer, il faut comprendre. C’est en tenant compte de cette assertion que Pucette Sassou N’Guesso a choisi le 16 novembre, date de la célébration de la Journée internationale de la tolérance, décrétée depuis une vingtaine d’années par les Nations unies, pour présenter et dédicacer son ouvrage Comprendre, c’est le maître mot de toutes situations.
Ouvrage de 125 pages paru aux éditions L’Événementiel, "Comprendre, c’est le maître mot de toutes situations", aborde le thème du « mieux vivre ensemble ». Pucette Sassou N’Guesso a mis sa main à l’étrier pour donner sa contribution au « mieux vivre ensemble ».
Dans ce livre, l’auteure s’interroge si seulement l’on peut vivre dans un monde sans le comprendre ? Si l’on peut vivre avec des personnes sans les comprendre ? Si l’on peut envisager un futur dès lors qu’on n’a pas ... Lire la suite
Le Goncourt des lycéens est attribué à Gaël Faye et son « Petit pays » paru aux Editions Grasset, un premier roman qui raconte une enfance au Burundi, du paradis perdu à l'horreur de la guerre civile et du génocide. Le roman de ce franco-rwandais est écrit à hauteur d'enfant, soulignant la beauté puis l'abomination traversées par son « Petit pays ».
Jeudi 17 novembre, « Petit Pays » a été élu au 1er tour de scrutin avec neuf voix devant le roman « Continuer », de Laurent Mauvignier, paru aux Editions de Minuit. Déjà récompensé par le prix Fnac le 1er septembre dernier, ce premier roman de Gaël Faye, musicien franco-rwandais de 34 ans, était favori de presque tous les prix de la rentrée littéraire.
La présidente du jury des lycéens, Margaux Compte, lui a annoncé la nouvelle par téléphone depuis l'opéra de Rennes. « Je suis très fier et ... Lire la suite
L’auteur de Petit pays vient de décrocher le Goncourt des lycéens, un prix coorganisé par la Fnac et le ministère de l’Education nationale
Déjà lauréat du prix Fnac et du prix du Premier roman, le franco-rwandais Gaël Faye ne cesse de faire des émules pour son tout premier roman. Le 17 novembre, dans les locaux de l’Opéra Rennes pour leur délibération finale, les lycéens l’ont couronné pour leur 29e prix Goncourt.
Pour ce livre, Gaël Faye puise dans ses souvenirs pour raconter la vie au Burundi d’un jeune garçon, Gabriel, qui voit arriver la violence dans son quartier, la guerre civile dans son pays, et la séparation de ses parents.
Le Franco-rwandais Gaël Faye succède ainsi à Delphine de Vigan qui avait décroché le prix l’an dernier pour Une histoire vraie (Lattès), vendu à ce jour à 450 000 exemplaires.
Comme chaque année, l’annonce à Rennes ... Lire la suite
Après une longue absence, l'icône de la rumba congolaise va marquer son retour sur scène au festival Soul power ce 18 novembre dans la salle du forum Mbongui. Le concert qu'il va offrir est un hommage aux grands noms de la Rumba congolaise qui ne sont plus de ce monde.
Sam Mangwana, invité d'honneur à l'évènement, est arrivé le 17 novembre en terre congolaise en provenance de l'Angola. Le concert qu'il va donner va marquer la relance de sa carrière musicale restée en berne depuis quelques années. "Ce sont les circonstances qui font que je relance ma carrière à partir de Pointe-Noire. Il faut dire que l'ambiance de Pointe-Noire, Brazzaville et kinshassa me manque beaucoup. J'ai repondu très rapidement à l'invitation de Soul power, j'ai eu la soif de d'apporter ma contribution à la réussite de cet événement", a indiqué l'artiste.
Pour son retour sur la scène, Sam ... Lire la suite
Parue aux éditions Chapitre.Com en 2016, La Noisette de la cité insipide, le troisième roman et sixième production littéraire de Florent Sogni Zaou, ce livre a été présenté et dédicacé récemment à la librairie des Dépêches de Brazzaville.
Ouvrage de 199 pages pour 21 chapitres, La Noisette de la cité insipide parle de l’histoire d’une jeune femme, Denise Bilongo, venue de Mpoutouville pour rendre visite à ses parents. Elle est victime du vol de ses documents de voyage dès qu’elle sort de l’aérogare. Son père Tolota Mpangou, qui se donne pour mission de l’aider à les retrouver, meurt des suites d’une crise d'hypertension.
Déshéritée par un membre de la famille paternelle, elle est hébergée, en compagnie de sa mère, par le chef du quartier. Mais sa mère, Mâ Julienne Yala, meurt aussi quelques mois plus tard. Le chef du quartier qui ne ... Lire la suite
Quel est donc l’important engagement qui empêchera Bob Dylan de se rendre le 10 décembre à Stockholm pour recevoir le prix Nobel de littérature 2016 ? « Pris par d’autres engagements », apprend-on par lettre reçue à l'Académie suédoise, il ne viendra finalement pas chercher son prix à Stockholm.
« L’histoire est un éternel recommencement » ; ainsi l’atteste le nouveau revirement de Bob Dylan qui imite Albert Einstein qui avait, lui-aussi, snobé les académiciens après l’obtention de son prix de physique en 1921, ou l’écrivain et philosophe français Jean-Paul Sartre, en 1964, qui avait, lui, carrément refusé le prix.
L’auteur-compositeur-interprète américain rompt à nouveau l’étrange et long silence après son acceptation du prix le 28 octobre par des propos chaleureux et enthousiastes rapportés par le « Daily Telegraph ».
Mais il ... Lire la suite

Avocat de Barly Baruti dans le procès en appel de l’affaire Tembo qui l’oppose à Bracongo, l’homme de droit s’insurge contre les multinationales qui, soutient-il, « écrasent les faibles, pillent les œuvres de l’esprit ». Dans cet entretien exclusif accordé aux Dépêches de Brazzaville, Me Grégoire Bakandeja fait savoir aussi qu’il va amorcer sa plaidoirie ce 17 novembre à la Cour d’appel de Kinshasa/Matete à Limete 4e rue.
Les Dépêches de Brazzaville : Qu’en est-il exactement de l’affaire Tembo, le fameux procès qui oppose l’artiste Barly Baruti à Bracongo ?
Grégoire Bakandeja : C’est une question de respect de droit. Barly Baruti est un artiste connu qui a réalisé une œuvre de l’esprit en dessinant la tête d’éléphant qui est introduit dans le logo Tembo. Pendant qu’il était en relation d’affaires avec l’une des deux ... Lire la suite
Visite : l’américain Ed Cox impressionné par l’héritage culturel du musée galerie du Bassin du Congo
En séjour de travail en République du Congo, le diplomate américain Ed Cox a visité le musée galerie du Bassin du Congo des Dépêches de Brazzaville, le 16 novembre 2016. Il en est sorti satisfait de l'immensité de la richesse culturelle Congolaise.
En fonction au bureau des Affaires publiques du département d’Etat américain, chargé de la presse de dix pays en Afrique centrale ; Ed Cox, a visité quatre pays sur les dix dont il a la charge. Il s’agit de Yaoundé (Cameroun), Libreville (Gabon), Kinshasa (RDC) et enfin Brazzaville (Congo). Le but étant de comprendre l’environnement médiatique de ces pays. De passage à Brazzaville, dernière étape de sa visite, il s’est rendu au musée galerie du Bassin du Congo des Dépêches de Brazzaville. Ed Cox s’est dit impressionné.
« C’est ma première visite en Afrique, et c’est pour la première fois que je me ... Lire la suite
La semaine du documentaire se tient du 15 au 19 novembre dans la ville océane. Pour cette première édition, l’Institut français du Congo (IFC) a pensé rendre hommage à Jean Rouch, réalisateur et ethnologue né le 31 mai 1917 à Paris et mort le 18 février 2004 au Niger.
Dans le cadre du mois du film documentaire, une manifestation internationale soutenue par l’Institut français de Paris, plus d’une dizaine de films seront projetés à l’IFC de Pointe-Noire. Et une séance est également accueillie par le Centre culturel Jean-Baptiste-Tati-Loutard. Cette première édition se veut une passerelle entre une certaine histoire et éthique du documentaire ainsi que la nouvelle génération congolaise issue des deux rives du fleuve. Pour ce faire, six jeunes documentaristes des deux Congo seront également mis à l'honneur, cinq d’entre eux se font déjà le plaisir ... Lire la suite