Politique
Le gouvernement congolais est déterminé, à travers ce partenariat financier conclu en 2002, à revitaliser les ressources humaines dans l’administration de manière à booster leurs performances.
L’administration publique en République démocratique du Congo est en passe d’afficher un nouveau visage à la faveur du partenariat avec la Banque africaine de développement (BAD) à travers le projet de mobilisation et de revitalisation des ressources humaines de l’administration publique (PMR-RH). Ce projet est, en effet, essentiel dans la mise en œuvre du programme prioritaire 2014-2015 du gouvernement.
Faisant l’état des lieux dudit projet au cours de la troisième réunion interministérielle de son comité de pilotage intervenue récemment, le ministre du Plan et Révolution de la modernité, Olivier Kamitatu, a réaffirmé la détermination du gouvernement à ... Lire la suite
L'appel a été lancé le 5 août à Brazzaville lors de la cérémonie de clôture de l'atelier de restitution des conclusions du dialogue inclusif de Sibiti 2015 organisé par la Coordination des réseaux et associations de la société civile œuvrant pour la gouvernance démocratique et électorale (Coraged).
S’adressant aux participants, Germain Céphas Ewangui a fait remarquer que le défi à relever par les organisations de la société civile est énorme. Elles ont en effet la responsabilité de faire que l’ensemble des Congolais accèdent, par le biais de la sensibilisation et de l’éducation, aux connaissances sur les normes, aux valeurs et principes qui régissent le système démocratique.
Le coordonnateur de la Coraged invite les Congolais à s'approprier et à défendre lesdits principes, car dit-il, la démocratie est avant tout une affaire ... Lire la suite
Une confusion malencontreuse est actuellement entretenue au sujet du nouvel ambassadeur de la RDC en Russie. Pour une certaine opinion mal informée ou plutôt s’abreuvant à la source de la désinformation, c’est l’initiateur de « Congo na Biso » qui représenterait désormais le président Joseph Kabila au pays de Poutine. Et pourtant, il n’en est rien. Freddy Matungulu Mbuyamu Ilankir n’est concerné ni de près ni de loin par les sept ordonnances présidentielles signées le 1er août 2015 à Lubumbashi nommant de nouveaux ambassadeurs extraordinaires et plénipotentiaires auprès des pays la Commission de l’Union européenne.
Réagissant à cette situation dans une déclaration faite le 4 août à partir de Washington DC, Freddy Matungulu se dit inondé depuis la publication de ces décrets présidentiels, de nombreux appels dse compatriotes en quête de ... Lire la suite
Cette réaction fait suite à son interdiction de sortie du territoire national. Il a ainsi marqué son indignation, le 4 août à Brazzaville, devant la presse nationale et internationale.
En partance pour Paris, en France, pour des raisons de santé, le président du Mouvement pour la solidarité et le développement (MSD) René Serge Blanchard Oba, a été interpellé le 3 août dernier, à l’aéroport international Maya-Maya. Pourtant, affirme-t-il, avoir obtenu du cabinet du chef de l’État des assurances verbales à cet effet. Les raisons de cette interdiction de sortie n’ont pas été élucidées par ce leader politique.
En rappel, René Serge Blanchard Oba a été victime d'un accident de circulation, il y a quelques temps. « Cet accident était tellement sérieux que j’ai été évacué en France. Je suis porteur d’un clou de 50 cm au fémur gauche. À ... Lire la suite
Les exposants ayant restitué les conclusions du dialogue national 2015 ont éclairé les zones d’ombre sur la « Gouvernance électorale » et la "Réforme des Institutions".
« Nous vous rendons compte des conclusions du dialogue national de Sibiti 2015, de manière détaillée, pour vous armer contre la désinformation », a déclaré d’entrée de jeu, le président du secrétariat permanent du comité du Parti congolais du travail (PCT) du premier arrondissement de Brazzaville, Maurice Claude Malelé Soba, s’adressant aux militants.
Après quoi, Léon Mbemba, participant au dialogue national, s’est mis à exposer sur la « Gouvernance électorale ». Il a entre autres épinglé dans son argumentaire, la biométrie et le bulletin unique dont l’usage lors des échéances électorales à venir est l'une des recommandations de Sibiti. La biométrie, rappelons-le, est ... Lire la suite
Ce parti politique rappelle au chef de l’Etat sortant, son engagement pris dans ce sens à l’issue des concertations nationales, devant la communauté nationale et internationale.
A l’issue de la session extraordinaire de son bureau politique tenue du 26 au 31 juillet, sous la conduite de la secrétaire générale Eve Bazaiba Masudi, le Mouvement de libération du Congo (MLC) s’est dit prêt pour les élections attendues dans le pays. Se félicitant du travail abattu, en alignant les candidats députés provinciaux sur toute l’étendue du territoire national, le bureau politique du MLC a également investi les candidats gouverneurs et vice-gouverneurs, dans les nouvelles provinces où cette formation politique a un poids politique significatif au sein des assemblées provinciales. Pour maximiser ses chances, ce parti, qui a renouvelé son attachement à son président, le ... Lire la suite
Le Parlement congolais conduit respectivement par les présidents des deux chambres, André Obami-Itou pour le Sénat et Justin Koumba pour l’Assemblée nationale, a rendu le 04 août, un dernier hommage au membre de la commission santé, affaires sociales, famille, genre et environnement du Sénat, Alphonse Mexill Etongo décédé le 25 juillet dernier au Centre Hospitalier et Universitaire (CHU) de Brazzaville.
Né le 23 août 1959 à Impfondo dans le département de la Likouala, Alphonse Mexill Etongo débute ses études primaires à l’école publique de Dongou, de 1966 à 1971 et obtient son Certificat d’études primaires et élémentaires (CEPE) en juin 1971.
Les portes du cycle secondaire lui étant ouvertes, il est admis au collège Etienne Mongha de la même localité et obtient en juin 1975, le Brevet d’études moyennes générales (BEMG). Pétri ... Lire la suite
Mis en demeure de voter la loi sur la répartition des sièges par circonscriptions électorales, les sénateurs ont compris que la seule voie d’issue pour régler l’actuelle crise politique, est de voter ladite loi pour permettre au processus électoral de poursuivre son cours normal.
Le microcosme politique congolais reste encore marqué par le fâcheux précédent crée par la Chambre haute du Parlement qui n’a pas voté, faute de quorum, la loi sur la répartition des sièges par circonscriptions électorales lors de sa plénière du vendredi 31 juillet dernier. Une véritable impasse s’est alors installée dans l’arène politique avec, en toile de fond, l’impossibilité pour la Céni d’organiser les élections locales, municipales et urbaines conformément à son calendrier électoral. La polémique a aussitôt enflé devant ce cas de figure exceptionnel, le Sénat ... Lire la suite
Premier sur le Top 10 des ministres du gouvernement central pour le mois de juillet 2015, les enquêtés ont reconnu ses efforts d’assainissement de son secteur qui prend en compte toute l’étendue du territoire nationale.
Selon l’étude réalisée pour le mois de juillet auprès de la population par l’Institut de sondages Les Points, le ministre d’Etat et ministre du budget, Michel Bongongo consolide en première position.
Ce « vieux routier des affaires de l’État », est notamment félicité par les fonctionnaires, pour avoir démantelé le réseau maffieux de la paie. On lui reconnait également le mérite d’avoir lancé une opération de contrôle de son secteur avec des inspecteurs largués sur l’ensemble du territoire national afin de détecter tous les fictifs dans l’administration publique. Il passe, a constaté l’Institut de sondages Les Points, de 69% ... Lire la suite
Le processus électoral en RDC est grippé, voire coincé, dans sa marche vers l’organisation cette année 2015 des controversées élections locales, municipales et urbaines.
La session extraordinaire convoquée il y a peu pour adopter la loi portant répartition des sièges par circonscription pour les élections locales, municipales et urbaines vient de se terminer en eau de boudin. Cette matière essentielle qui était censée garantir plus de visibilité pour la suite du processus électoral en cours n’a pas requis l’adhésion des sénateurs qui, en deuxième lecture, l’ont carrément rejeté. Lors de la plénière du vendredi 31 juillet dernier à la chambre haute, les différentes interventions enregistrées ont mis en relief l’inconstitutionnalité et l’incongruité de ce projet de loi truffé d’anomalies.
Alors que l'enrôlement de nouveaux électeurs ... Lire la suite