Art-Culture-Média
Organisé du 20 février au 1er mars 2014 à Yaoundé, le Congo a reçu le deuxième prix d’excellence grâce au talent de Bernadette Fouekafoueni « Fontaine des roses » artisane spécialisée dans la pharmacopée.
« Fontaine des roses » comme elle est surnommée dans la profession a reçu le deuxième prix d’excellence de ce salon, Siarc en sigle, dans la catégorie Meilleure œuvre d’artisan étranger.
Le produit primé est celui dont chaque femme ne saurait se passer : le vernis à ongle. Celui présenté par Bernadette Fouekafoueni embellit, mais surtout prévient de certaines maladies des ongles qui les abiment et finissent, selon les explications de la spécialiste, par occasionner la cécité dans les cas les plus graves. Son produit est une trouvaille ! Pour ceux qui l’ont regardé de près, il s’agit d’un vernis fait à base de fruits africains. « Je ... Lire la suite
Le coup d'envoi a été donné, le 28 février, en la salle culturelle « Le Zoo » à Kinshasa, surle thème principal « Élève et environnement ».
Des délégués de près de cent cinquante écoles de la capitale de la RDC ont rehaussé de leur présence la cérémonie de lancement de ce nouveau festival initié par l’artiste et écrivain Lele Michaux Bossay. Parrain du festival, Mike Wembue du Fonds de promotion culturelle a procédé au lancement de l’événement. C’était avant la présentation du festival, fait par le directeur du Festival, Lele Michoux Bossay. Il a aussi relevé les motivations qui ont milité à l’organisation cet événement culturel et écologique destiné aux écoliers et élèves de la RDC, soulignant aussi la tenue aussi d’un concours sur l’écologie. En donnant les objectifs assignés ainsi que les attentes du festival, le ... Lire la suite
Le festival, organisé par la compagnie Jacques Bana Yanga, sera organisé du 26 au 29 avril 2014
Cette quatrième édition du festival « Me ya Be » (Je vous invite à danser) accueillera des danseurs de neuf pays étrangers, en plus de ceux de RDC, notamment d’Afrique du Sud, de la République du Congo, du Cameroun, du Gabon et du Sénégal. Le thème choisi pour cette édition du Festival Me Ya Be est « la persévérance ». Le Festival va se dérouler en trois étapes à savoir l’organisation, du 16 au 25 avril, d’un atelier de renforcement de capacités des danseurs de différentes disciplines ; l’organisation d’un festival concours dans les écoles et enfin le festival IN du 26 au 29 avril. L’atelier de renforcement des capacités va réunir 40 danseurs contemporains et traditionnels autour de trois formateurs à savoir Julie Dossavi (France), Marion ... Lire la suite
Sont coucheés dans le livre de 240 pages, les conclusions d’une somme de réflexions de chercheurs qui s’interrogent sur les « défis méthodologiques et voies de sortie » possibles.
Fruit des recherches menées sous la direction du Pr. Germain Ngoie Tshibambe, Identités, ressources naturelles et conflits en RDC, Défis méthodologiques et voies de sortie ? s’emploie à revisiter les discours dominants qui s’élèvent en rapport avec les conflits en RDC. Les batailles qui ont ensanglanté la partie est du pays sont abordées de trois manières. Les explications livrées, plausibles selon l’aspect pris en compte, peuvent être renvoyées soit « à des explosions des revendications identitaires » quitte à en juger ici d’un point de vue du primordialisme, soit liées au « couple envie-frustration, selon le modèle de greed-grievance de Paul Collier », soit ... Lire la suite
L’atelier organisé du 5 au 7 mars à l’Institut national des arts (INA), avec l’appui de l’Union européenne (U E), est un prélude à la vulgarisation du nouveau concept qui entend mettre l’art au service du développement avec la mise en œuvre de projets spécifiques qui doit s'appuyer sur la communication et la mobilisation sociale.
La remise à niveau assurée pendant trois jours par les Pr. Mafolo Ladha et Roland Mumbala était destinée aux chefs des sections et enseignants de l’INA ainsi qu’aux opérateurs culturels en priorité. Des étudiants finalistes de l’INA ont également été joints à ce groupe qui a réuni au final vingt participants, membres notamment de troupes de théâtre, orchestres de musique, groupes de danse et de cinéma. D’entrée de jeu, les formateurs précités ont cadré leur propos de sorte à faire « comprendre l’approche ... Lire la suite
L’opus tant attendu d’Oxy Oxygène et son groupe Universal zangul sera présent sur le marché du disque dans quelques jours. Preuve de cette sortie imminente de l'album, la maison Letiok productions vient de terminer une campagne de distribution des affiches.
Trois clips promotionnels accompagneront la sortie de cet opus parmi lesquels « Je - tu ». Des pronoms personnels qui donnent la force à "Conjugaison" le titre de l'album. selon les producteurs, les extraits de l'album seront diffusés sur les différentes chaînes de télévision. On y verra principalment "Tonga ya zaga-zaga" et "Maboko miké."
Le général Sotonyoto, Oxy-Oxygène dit Papa yaya (l’homme qui a passé 9 mois pile-pile dans le ventre de sa mère avec accouchement sans douleur tel qu’il veut désormais se faire appeler) annonce que l'album contient des merveilles qui feront le bonheur des ... Lire la suite
D'humeur facétieuse, des questions d'adolescente plein la tête, la jeune actrice Rachel Mwanza s'est confiée aux Dépêches de Brazzaville de retour de Kinshasa où elle a participé au Forum mondial des femmes francophones
« Tout s'est bien passé, Yamina [Yamina Benguigui, ministre de la Francophonie, NDLR] était toujours près de moi et s'est bien occupée de moi, j'ai pu faire un discours sur l'école et les enfants de la rue. » Le séjour de Rachel Mwanza à Kinshasa a été très positif, la jeune actrice, ex-enfant des rue, devenue porte-flambeau de ses anciens compagnons d'infortune a pu plaider leur cause auprès des officiels présents à Kinshasa. Le thème central du sommet axé sur l'éducation a beaucoup touché le petit prodige qui a beaucoup souffert de perdre totalement la maîtrise de la lecture et de l'écriture, et dont le plus grand rêve pendant ses ... Lire la suite
Les organisateurs des festivités du soixantième anniversaire de la littérature congolaise célébré l’année dernière à Paris poursuivent leurs actions conjointes en créant une association culturelle
En présence de l’écrivain congolais Maxime Ndebeka et du professeur camerounais de littérature française Martin Lemotieu, les amoureux des arts et des lettres ont participé le samedi 1er mars, dans l’amphithéâtre du 11 rue de la Vistule, dans le treizième arrondissement de Paris, à l’assemblée générale constitutive de la nouvelle structure dénommée Cercle des écrivains et artistes des Afriques (CE2A).
CE2A a pour objectifs de réunir les auteurs culturels, de promouvoir les œuvres littéraires et artistiques des Afriques, de favoriser le partage d'expériences et d’encourager l'entraide et la solidarité entre ses membres.
L’association s’est ... Lire la suite
Georgette Kouatila, alias Djo Kouat, née en 1953, commence sa carrière de danseuse en 1975 au sein du Ballet national. La troupe du Théâtre national manque de comédiennes. En 1980, sur recommandation du ministre de la Culture et des Arts, Jean-Baptiste Taty-Loutard, celle qu’on surnomme aussi « Mère courage » pour son franc-parler et sa propension à aimer le risque, intègre le Théâtre national congolais. Sa mère, qui lui destinait une carrière de sage-femme, s’y oppose, mais son père, Georges Kouatila, photographe (représentant du Congo en photographie au Festival mondial des arts nègres à Dakar en 1966, NDLR) et chauffeur au ministère de la Culture et des Arts l’encourage.
Elle se forme au théâtre aux côtés des metteurs en scène, Matondo Kubu Turé, Yirrika Antoine, Nicolas Bissi et Pascal Mayenga, particulièrement dans la pièce de théâtre de Guy ... Lire la suite
Née en 1985, Doctrovée a tout fait trop tôt. Dès son enfance, le crayon s’est familiarisé avec ses doigts, mais sa passion n’est pas partagée par ses parents. La guerre civile de 1997 la contraint de quitter Brazzaville pour Pointe-Noire. Inscrite en classe de sixième, Doctrovée dessine sur tous ses cahiers. L’art prime sur les autres disciplines. Un de ses enseignants l’encourage dans son engagement plastique, mais son frère s’y oppose énergiquement. Elle s’exerce à la peinture en bâtiment dans la petite entreprise de son oncle. En 20
03, après l’obtention du BEPC au collège de Mansimou, elle rêve de fréquenter l’École nationale des Beaux-Arts de Brazzaville, mais l’autorité parentale s’étant à nouveau exprimée, c’est le lycée technique 1er-Mai qui l’accueille pour la comptabilité « qui ride mon sourire », nous ... Lire la suite
