Art-Culture-Média
Publié par L'Harmattan Congo-Brazzaville, cet essai aubiographique décrit l'itinéraire de vie d'un illustre chroniqueur sportif congolais.
Ghislain Joseph Gabio fait partie des grands noms qui ont marqué les férus du sport et de la culture par son talent de reporter. De la gare Hamon-Madzia aux cinq continents du monde en passant par Brazzaville, il a vécu comme un homme ordinaire, laissant dans son parcours des traces d'un personnage public distinctif par la qualité de ses prestations en communication.
Né en 1945 à Kinkala, en République du Congo, Ghislain Joseph Gabio a passé ses premières années de sa jeunesse à Madzia où il a connu une éducation austère qui l'a prédisposé à acquérir une personnalité responsable et consciencieuse. Il a étudié de l'école primaire à l'université dans différentes localités de son pays, puis en France. Madzia, Kinkala, ... Lire la suite
L’ambassade de la République islamique de Mauritanie en République du Congo et le mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza ont décidé de collaborer pour renforcer la coopération culturelle . C’est ce qui ressort des échanges entre l’ambassadeur de ce pays au Congo, Sidi Ould El Ghadi, et la directrice générale de ce mémorial, Bélinda Ayessa.
Le début de la coopération culturelle a été marqué par la visite du diplomate mauritanien, Sidi Ould El Ghadi, au mémorial Pierre- Savorgnan-de-Brazza. Pour ce faire, au cours des échanges entre lui et Bélinda Ayessa, il a été envisagé une visite officielle de cette dernière à Nouakchott en Mauritanie. « Je veux tout d’abord remercier la directrice générale du mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza pour l’audience qu’elle m’a accordée dès que j’ai soumis ma demande. Avec elle, nous avons parlé des bonnes ... Lire la suite
L’Université Marien-Ngouabi, par le truchement de la Faculté des lettres, arts et sciences humaines, ainsi que la formation doctorale espaces littéraires, linguistiques et culturels, organise du 29 au 30 mai à Brazzaville un colloque international sur le thème «L’œuvre de Henri Djombo et les enjeux des sociétés contemporaines », rendant hommage à l’écrivain congolais.
Le colloque international qui se déroule pendant deux jours connaît la participation des chercheurs, des universitaires, des étudiants et des hommes de lettres venus de différents horizons. Il va donner l'occasion aux participants de décortiquer les multiples facettes de l’écrivain et de découvrir également d’autres.
Plus d’une dizaine d’ouvrages et pièces de théâtre publiés par Henri Djombo sont au centre des débats en ateliers et des conférences sont animées par des ... Lire la suite
Les organisateurs du Festival scolaire les 12 goûts du livre 2024 ainsi que leurs partenaires ont animé une conférence de presse, le 29 mai, à l'Institut français du Congo(IFC). Au cours de cet échange avec les chevaliers de la plume et du micro, il a été question de dévoiler le programme du festival, son objectif et son impact sur la vie des élèves, et le rôle des partenaires.
Le festival est une composante du projet « École des lecteurs » mis en œuvre par la fondation Media Freelance. Pour cette année, il regroupera, du 24 au 31 octobre à Brazzaville, environ 300 écoles, 38 clubs scolaires de lecture de quatre villes et 570 élèves du collège.
Il vise à encourager la lecture chez les jeunes en favorisant la découverte de la littérature jeunesse et l’éducation aux médias. Ce sont les élèves de Brazzaville, Dolisie, Pointe-Noire et Owando ... Lire la suite
Film documentaire de vingt-neuf minutes sorti en 2016, « Kokota » évoque les conséquences du changement climatique dans un coin d’Afrique.
Mbarouk Mussa Omar est originaire de Pemba, une petite île d'Afrique de l'Est au large de Zanzibar. Il y a dix ans, il visite pour la première fois Kokota, un minuscule îlot voisin. Il est bouleversé par ce qu'il y découvre : Kokota est sur le point de disparaître. Mbarouk sait que le changement climatique et la déforestation en sont les responsables. Il souhaite désespérément aider Kokota, « mais que peut bien faire un pauvre homme de Pemba ? Se dit-il ». Grâce à l'aide de quelques experts, Mbarouk et le peuple résilient vont mettre en place une série de solutions simples dont les effets ont permis de retrouver la nature prospère et accueillante qu'ils avaient autrefois.
Ce court documentaire d’environ trente minutes ... Lire la suite
« Chronique de la ville en décrépitude », tel est le thème abordé par le photographe sénégalais, Boubacar Touré Mandémory, au vernissage de l'exposition photo de la quatrième édition des Rencontres internationales de la photographie d’auteur (Kokutan’art), qui s’est tenue du 21 au 24 mai à Brazzaville, mettant en lumière l’urgence climatique.
« Chronique de la ville en décrépitude », c’est l’histoire de deux adolescents vivant à Rio, au Brésil, à qui on avait demandé des photographies représentant leurs lieux d’habitation. L’un avait proposé un clou fiché dans un pan de mur lézardé et l’autre, le visage d’un jeune garçon au nez sanguinolent apparemment arraché. Le maître, persuadé qu’ils n’avaient pas compris le sens de l’épreuve, les interrogeait pour obtenir des réponses. Pour le premier, le clou représentait la ... Lire la suite
Après sa sortie officielle le 27 avril 1968 au bar chez Faignond, l’orchestre Super Boboto (SBB), sous la houlette d’Ange Linaud Djendo, a pour siège le Super Jazz, bar qui fut situé dans la rue Makoko, dans le troisième arrondissement de Brazzaville, Poto-Poto, et qui sera débaptisé plus tard le « Temple rouge » suite à son engagement à la cause révolutionnaire congolaise.
« Ebonga ébonga té ! Toujours meilleur », slogan du SBB que les chanteurs lançaient souvent au cours des concerts. Pendant les week-ends, hormis le bar Super Jazz, Bouya Bar, chez Mbati, Mess mixte de ganison et autres lieux des prestations du SBB étaient des occasions de retrouvailles appuyées par une forte publicité à la Radio Congo, où affluait la crème mondaine brazzavilloise, entre autres, les associations féminines (La Violette, la Rosette, la Pose), certaines militantes de ... Lire la suite
En marge de la 10e édition de la rencontre internationale de la danse et de la musique de Brazzaville « Boya kobina », l’espace Baning’art invite les artistes nationaux évoluant dans l’univers de la danse à s’inscrire, au plus tard le 30 juin, en vue de participer à l’événement.
Comme lors des précédentes éditions du festival ''Boya kobina'', l’appel à candidatures vise à réceptionner, analyser et sélectionner la crème des meilleures propositions soumises par les artistes qui auront postulé. Il est particulièrement ouvert aux danseurs, chorégraphes et performeurs. Pour candidater, plusieurs critères s’imposent aux artistes, entre autres, être professionnel, proposer un spectacle datant de moins de deux ans et ne pas avoir déjà été programmé aux éditions précédentes du festival avec la même création.
Par ailleurs, les artistes doivent ... Lire la suite
Le jeune artiste Afara Tsena continue sa conquête au-delà des frontières africaines. Avec plusieurs dates inscrites dans son agenda, cette tournée qui le conduira dans différentes villes européenne et africaine marquera l’histoire car il sera le premier artiste urbain congolais à la réaliser.
Dénommé « Afara Tsena World », le périple qui a débuté dans les villes de Paris, Saint Denis, Londres, Francfort et Orléans le mois dernier se poursuivra jusqu’en juillet. En effet, l’artiste sera sur scène le 8 juin à Londres, en Angleterre; le 15 juin à Le Mans, en France; le 22 juin à Bruxelles, en Belgique; le 29 juin à Perugia, en Italie; et le 6 juillet à Dar Es Salam, en Tanzanie.
L’éloge de la carrière artistique d'Afara Tsena ne fait que se justifier. Dans la continuité de l’authenticité, après le plein succès de son concert de Paris le mois ... Lire la suite
« Mama Ci », le nouveau morceau du Grand Mopao totalisant déjà plus d’un million de vues, est sorti le 26 mai. Fabregas et JR 33 qui se font ses complices ne tarissent pas d’éloges pour sa dulcinée dénommée « Reine d’amour ya mokonzi ».
Plus poète que jamais, Koffi commence le nouveau single tout en rimes où il affirme l’aimer à la vie, à la mort. « Mama Ci, si et seulement si, opesi nga makasi, na mem’o na Sicile et puis na Cincinnati. Même ata babeta nga masasi neti na Masisi to na Sibérie », l’entend-on clamer de prime abord. Avant de renchérir, remerciant sa génitrice de lui avoir donné la vie : « Mama abot’o merci ». Il achève cette introduction poétique avec la conviction que cet amour sera manifeste même quand il passerait de vie à trépas : « Bolingo e’a kelasi mokolo ya autopsie, bamona kaka Mama Ci. Si, si ! ».
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