Environnement
Tous les pays doivent s’adapter au changement climatique. Un récent rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat des Nations unies a présenté les conséquences de l’échec à freiner l'augmentation de la température et de l'adaptation à une planète plus chaude. |
L'adaptation doit faire face aux risques liés au changement climatique et aux conditions météorologiques extrêmes, selon le rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat des Nations unies. Le rapport cite l’exemple de la protection de l'agriculture, de la gestion de l'impact de la montée des mers ainsi que des infrastructures plus résilientes. Les avantages de l'adaptation sont parfois difficiles à estimer car ils dépendent de facteurs spécifiques tels que le degré d'adaptation d'un pays à son climat actuel, poursuit le ... Lire la suite |
Le président sénégalais, Macky Sall, a donné le 21 mars le coup d'envoi du neuvième Forum mondial de l'eau à Diamniadio, près de Dakar, en vue de sonner l'alerte sur la raréfaction des ressources hydriques dans le monde et en particulier en Afrique.
Le président Macky Sall a souligné, dans son discours d'ouverture, que le forum se réunissait au Sénégal alors que la raréfaction des ressources hydriques et la dégradation de l'environnement continuent de s'aggraver. Citant un rapport des Nations unies, il a souligné que la situation n'était pas rassurante, deux personnes sur cinq dans le monde vivant dans des régions où l'eau est rare.
"Tout laisse croire que si rien n'est fait, la situation ira de mal en pis", a-t-il alerté en assurant que le neuvième Forum mondial de l'eau était "l'occasion de sonner l'alerte sur la gravité de la situation".
« Compte tenu ... Lire la suite
L’Observatoire congolais des droits de l’homme (OCDH) et la Rencontre pour la paix et les droits de l’homme (RPDH) ont organisé, le 17 mars à Brazzaville, une table ronde pour faire un état des lieux relatif à la gestion des écosystèmes naturels afin de favoriser la gouvernance forestière au Congo.
La rencontre visait à mettre ensemble tous les acteurs œuvrant dans le secteur forestier; identifier les nouveaux défis et opportunités d’amélioration; renforcer l’engagement des parties prenantes en créant une synergie.
Les organisations de la société civile ont passé en revue les différents documents sur la lutte contre l’exploitation illégale des forêts et ceux sur les changements climatiques au Congo.
« Nous allons identifier les nouveaux défis liés à la gestion de la forêt et entrevoir les opportunités et synergies possibles pour améliorer ... Lire la suite
Le Forum pour la gouvernance et les droits de l’homme (FGDH) a organisé, le 15 mars à Brazzaville, en collaboration avec les organisations ciblées, un atelier pour l’inclusion géographique et sociale dans le processus et les initiatives climat en République du Congo.
L’objectif est de favoriser une implication des femmes, jeunes et des groupes marginalisés, basés à l’intérieur du pays, sur la conception des programmes thématiques de la loi, du plan d’action de la deuxième contribution déterminée au niveau national (CDN). Il s’agira aussi de recueillir les éventuelles contributions des parties prenantes concernées.
Financé à cinquante mille euros par les bailleurs, le projet d’inclusion géographique et sociale dans le processus et les initiatives climat en République du Congo a une durée de douze mois. Cinquante administrations, trois cents femmes ... Lire la suite
L’Organisation non gouvernementale (ONG) Union des jeunes pour le développement et l’entraide (UJDE) a tenu, du 4 au 5 mars à Brazzaville, sa session bilancielle afin de mobiliser quatre millions sept cent mille F CFA en faveur des cultures rentables comme la pastèque.
Dans les encablures du village Cent trois kilomètres, dans la partie septentrionale de Brazzaville, les membres de l'UJDE ont acquis une étendue de plusieurs hectares et travaillent pour leur projet agricole. Sur cet espace, ils vont se lancer dans des cultures comme l’oignon, la tomate, la pomme de terre, l’arachide, la pastèque et autres.
« Pour une bonne agriculture, la quantité des produits doit être commerciale et industrielle. Nous ne voulons plus d’une agriculture vivrière. Nous n'avons reçu que moins d’un million des donateurs bénévoles et des bailleurs étrangers. Nous voulons ... Lire la suite
La parenthèse des retrouvailles de la 58e édition du Salon international de l'agriculture de Paris s'est refermée dans la joie et le succès, le 6 mars. Les représentants africains sont à l’unisson pour dire combien leurs produits du terroir ont été plébiscités.
La 58e édition de la plus grande ferme de France a remporté un succès au-delà des espérances. Si le monde agricole a manifesté sa joie de se retrouver, il a aussi fait part de ses profondes craintes pour l’avenir, dans un contexte géopolitique totalement bouleversé.
Cet état d’esprit et cette satisfaction se résument par les propos enthousiasmants de Jean-Luc Poulain, président du Salon international de l'agriculture. « En treize ans de présidence du Salon international de l’agriculture, je n’ai jamais vu autant de gens heureux d’être là, d’arpenter les allées du Salon et ... Lire la suite
Dans le cadre du deuxième rapport du sixième cycle d’évaluation, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a examiné les impacts climatiques, l'adaptation et la vulnérabilité.
Le rapport de synthèse explique comment le changement climatique induit par l'homme à cause d'une dépendance dangereuse aux combustibles fossiles entraîne la pauvreté, l'insécurité hydrique et alimentaire, l'extinction des espèces et les pertes et dommages. La nouvelle évaluation montre que l'étendue et l'ampleur des impacts du changement climatique sont plus importantes que celles estimées dans le cadre de la dernière évaluation du GIEC en 2014. Sans mesures urgentes pour limiter le réchauffement climatique à 1,5°C, l'adaptation au changement climatique deviendra plus coûteuse, inefficace et dans certains cas tout simplement impossible, entraînant ... Lire la suite
La délégation ivoirienne conduite par son ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Kobenan Kouassi Adjoumani, a présenté, le 2 mars, le potentiel agricole de la Côte d’Ivoire.
Le mercredi 2 mars, tout au long de cette journée devenue une coutume, la famille agricole ivoirienne a multiplié les manifestations de promotion de l’écosystème de son agriculture avec toutes les potentialités d’investissement. La Côte d’Ivoire tend désormais à la modernisation de ce secteur clé de son économie pour lequel elle a initié le concept d’agropole. Elle a mis en place un hub, structure de transformation comptant 100 habitants dans chaque agropole.
L’un des temps forts de cette journée a été la conférence ministérielle autour du thème « L’agriculture ivoirienne au-delà de la Covid-19 et du changement climatique : accélérer la ... Lire la suite
La Côte d’Ivoire présente au salon de l’agriculture 2022 ses produits et met également en avant l’Institut national de formation professionnelle agricole (INFPA) avec ses activités de formation et de recherche dans les domaines de l’agriculture, de l’alimentation, de l’écosystème du secteur agricole et agroalimentaire.
Le lieutenant-colonel Marc-Olivier Togbé, à la tête de l’INFPA depuis octobre 2020, a effectué le déplacement pour venir parler de l’établissement d'enseignement supérieur qui forme les étudiants dans le domaine de l'agriculture et ses extensions par son dispositif technique conciliant la meilleure combinaison entre la théorie et la pratique.
S'entretenant avec la presse sur les pratiques agricoles et les options en termes de débouchés de l’INFPA, le directeur a précisé que son institut réunit à ce jour onze écoles. Celles-ci ... Lire la suite
La boutique des produits du terroir de la Côte d’Ivoire, au Salon international de l’agriculture, propose aux visiteurs les produits agricoles transformés sur son territoire national. En bonne place, ceux de la gamme « les produits d’Ivoire » à base du beurre de cacao.
Sur un des stands de la Côte d’Ivoire, les produits à base du beurre de cacao se déclinent sous toutes les formes. Réduit en poudre et transformé, le cacao permet d’obtenir un produit fini en cosmétique, c’est-à-dire à usage de soins : capillaires ; anti-alopécie ; corporels et antirides.
« En respect du décret réglementant la fabrication et la commercialisation des produits cosmétiques, beauté et bien-être, nous répondons à la volonté du gouvernement ivoirien, à savoir transformer les produits agricoles sur place en Côte d’Ivoire », précise Kouamé Laurent Yao ... Lire la suite