Environnement
La cérémonie de remise officielle de la Stratégie nationale et du plan d’action et de gestion des risques de catastrophes de la République du Congo a été co-présidée par la ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo (MEDDBC), Arlette Soudan Nonault, et le représentant résident du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Maleye Diop, le 9 décembre à Brazzaville.
La remise officielle de la Stratégie nationale et du Plan d’action et de gestion des risques de catastrophes de la République du Congo a eu lieu en présence de partenaires nationaux et internationaux. Elle sanctionne l’aboutissement d’un long processus de consultation sur la gestion des risques et catastrophes des parties prenantes nationales. Cette stratégie et le plan d’action y relatif, qui cartographie les risques pesant sur la République du ... Lire la suite
Le directeur des forêts au Congo, Dieudonné Sita, a apprécié à Brazzaville l’importance du système normalisé d’observation indépendante en l’estimant de « valeur ajoutée » dans le cadre de la gestion des forêts.
« Le système normalisé d’observation indépendante externe (SNOIE-Congo), bien qu’il soit « main libre », vient aussi apporter un plus dans la gouvernance forestière », a déclaré Dieudonné Sita, directeur des forêts.
A cet effet, a-t-il renchéri, « les deux types d’observation sont complémentaires car l’un peut voir ce que l’autre n’a pas vu et réciproquement. Ainsi, Il n’y a donc aucun inconvénient si les deux observations indépendantes travaillent ensemble ».
Le système normalisé d’observation indépendante est une approche éprouvée et affinée dans des pays par des organisations locales, qui ont bâti ... Lire la suite
La 26e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques n'ayant pas répondu aux besoins de financement des pays à faible revenu, les experts estiment qu’il revient à la Banque mondiale (BM) et à d'autres prêteurs multilatéraux d’intensifier et d’être plus ambitieux en matière de financement climatique.
Au cours de la dernière décennie, la BM s'est retirée de nombreux types d'investissements dans le carbone, y compris le financement direct du charbon. Après avoir lancé un plan d'action sur le changement climatique, elle annonce qu’elle s'alignerait sur l'accord de Paris sur le climat d'ici à juillet 2023. A l’issue la COP 26 en Ecosse, les observateurs déplorent une feuille de route peu claire, qui ne leur « donne pas beaucoup de confiance », a déclaré Christian Donaldson, conseiller politique chez Oxfam international. Or, « la banque ... Lire la suite
La 26e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques n'ayant pas répondu aux besoins de financement des pays à faible revenu, les experts estiment qu’il revient à la Banque mondiale (BM) et à d'autres prêteurs multilatéraux d’intensifier et d’être plus ambitieux en matière de financement climatique.
Au cours de la dernière décennie, la BM s'est retirée de nombreux types d'investissements dans le carbone, y compris le financement direct du charbon. Après avoir lancé un plan d'action sur le changement climatique, elle annonce qu’elle s'alignerait sur l'accord de Paris sur le climat d'ici à juillet 2023. A l’issue la COP26 de Glascow, en Ecosse, les observateurs déplorent une feuille de route peu claire, qui ne « donne pas beaucoup de confiance », a déclaré Christian Donaldson, conseiller politique chez Oxfam International. Or, « la ... Lire la suite |
Face au réchauffement climatique, le secteur de l’aviation est appelé à se verdir, pour l’atteinte au zéro émission nette de CO2 d’ici à 2050. Face à des aménagements, les prix des billets d’avion devraient augmenter. Le transport aérien faisant partie potentiellement du pré-carré.
Grâce ou à cause de la transition écologique, les prix des billets d’avion vont subir une augmentation conséquente. Selon les différents scénarios envisagés par un nouveau rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, l’évolution de la température moyenne du globe montre que celle-ci devrait atteindre au minimum du plus +1,5°C par rapport à l'ère préindustrielle autour de 2030. Face à ces perspectives, le monde de l’aviation se retrouve sous une pression inédite. Pour cause, les émissions avions représentent autour de 3 % du ... Lire la suite
Neuf organisations de la société civile congolaise et les parties prenantes de la gouvernance climatique se sont réunies, le 29 novembre à Brazzaville, pour évaluer la mise en œuvre des contributions déterminées au niveau national (CDN), après la Cop 26, tenue à Glasgow, en Écosse.
Les travaux ouverts par Georges Nguila, directeur exécutif de l'Observatoire congolais des droits de l’homme (OCDH), permettront aux participants d’examiner les priorités des organisations de la société civile et de faire le point des inquiétudes de l’administration en lien avec le plan climat du Congo et évaluer la mise en œuvre des Contributions déterminées au niveau national (CDN).
En effet, les CDN sont des plans nationaux non contraignants mettant en évidence les actions climatiques, y compris les objectifs liés au climat pour la réduction des émissions de gaz à ... Lire la suite
Quelques jours après la tenue de COP 26 à Glasgow, en Ecosse, le chercheur congolais, le Dr Maurice Itous-Ibara, a présenté une conférence sur le thème « Le magnétisme vital, sa place dans l’environnement traditionnel et dans l’environnement moderne : du règlement climatique traditionnel au règlement climatique moderne ». C'était à l’occasion de la Journée scientifique organisée au mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza, la semaine dernière.
Devant la crème d’enseignants (maîtres de conférence et maîtres assistants) de la Faculté des lettres, arts et sciences humaines de l’Université Marien-Ngouabi, le Dr Maurice Itous-Ibara a centré son exposé sur deux grands points, à savoir l’environnement traditionnel et l’environnement moderne.
Concernant l’environnement traditionnel, il a procédé aux questionnements pour obtenir la solution. Comment ... Lire la suite
En Afrique, la culture maraîchère constitue un secteur d’emploi durable et stable pour une grande partie de la population, contribuant grandement au produit intérieur brut des pays de ce continent. Cette agriculture constitue un facteur majeur dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle de la population urbaine africaine. Depuis toujours, cette activité est mise en péril par les insectes nuisibles qui détruisent à eux seuls le tiers des récoltes. Afin de pallier ce problème, les maraîchers font recours à des produits chimiques appelés « pesticides », pour protéger leurs cultures.
Le terme « pesticide » désigne les substances utilisées dans la lutte contre les organismes jugés indésirables par l’homme (plantes, champignons, bactéries…). Il est souvent employé dans le cadre des usages agricoles, mais il englobe également les usages non agricoles comme ... Lire la suite
Près de la moitié de population mondiale souffre de malnutrition, avec des conséquences pour la santé et pour la planète, selon un nouveau rapport « Global nutrition report ».
Le rapport « Global nutrition report (GNR) » reprend des données de l'Organisation des Nations unies, de l'Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture, de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ou du Fonds des Nations unies pour l'enfance. Près de la moitié de la population mondiale (48%) souffre d'une mauvaise nutrition, avec des conséquences néfastes pour la santé et pour la planète. Ce sont des personnes qui mangent trop ou trop peu. Au rythme actuel, le monde n'atteindra pas huit des neuf objectifs nutritionnels fixés par l'OMS pour 2025. Il s'agit notamment de réduire l'émaciation des enfants et les retards de croissance, ainsi que l'obésité des ... Lire la suite
Tel est le message de plusieurs représentants des ONG et de la société civile à la clôture du sommet de Glasgow, en Ecosse, qui aura duré deux semaines. Ils rendent le gouvernement britannique complice des États-Unis et de l'Union européenne pour bloquer le financement des pertes et dommages.
La COP 26 était censée être une « COP de crise », une bouée de sauvetage pour les millions de personnes vivant dans un état de crise permanent, perdant leur vie, leurs moyens de subsistance et leur logement à cause des impacts climatiques causés par les pays riches et polluants, expliquent les ONG. L'échec des pays riches comme les États-Unis, l'Union européenne et le Royaume-Uni à soutenir un mécanisme de financement des pertes et dommages est une trahison pour les millions de personnes souffrant de la crise climatique dans les pays en développement, poursuivent les ... Lire la suite