Environnement
Dans ses apports auprès des petits exploitants au Congo, Eco-Oil, répertoriée en tant qu’entreprise de développement durable, par une délégation conduite par son président Claude Wilfrid Etoka, participe à la 26e Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques.
Tel que l’a rappelé, à la séance plénière, le Chef de l’Etat Denis Sassou N’Guesso, Président de la Commission Climat du Bassin du Congo en l’occurrence, les principaux pays responsables des émissions de GES passées et donc des dérèglements climatiques actuels et ceux à venir accusent un retard abyssal sur la traduction de leurs engagements en termes de diminution concrète de leur empreinte carbone, ainsi que sur la cagnotte économique Nord-Sud de 100 milliards par an promise lors de la COP21 à Paris.
Pendant ce temps, sans attendre, l’Afrique a entrepris sa démarche dans le ... Lire la suite
En relayeur perpétuel du message « vert » du chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, l’écrivain-chercheur congolais participe à la COP26 à Glasgow, en Ecosse. Il nous répond sur l’actualité de la déréglementation climatique.
Les Dépêches de Brazzaville (L.D.B.) : Pourquoi votre présence à la 26e conférence annuelle de l'ONU sur le climat sous la présidence britannique ?
Michel Innocent Peya (M.I.P) : Participer au sommet annuel réunissant 197 nations pour discuter du changement climatique est devenu un rite. En appui de la vision verte du chef de l’Etat, il est devenu naturel de relayer cette constance en matière de changements perpétuels subis par la planète en général, plus particulièrement, dans la sous-région du Bassin du Congo. Et puis, pour ce rendez-vous à Glasgow, les participants prévoient d’examiner les progrès accomplis - ou ... Lire la suite
A Glasgow, en Ecosse, une liste de questions épineuses a été remise aux délégués de la COP 26, parmi lesquelles figurent celle-ci : les pays à faible revenu devraient-ils se voir refuser l'accès aux combustibles fossiles alors même que les pays les plus riches continuent de les exploiter ?
L'Europe et les États-Unis ont mené une charge à la Banque mondiale (BM) pour mettre fin au soutien de l'institution aux projets de combustibles fossiles alors que leurs propres économies continuent de dépendre fortement de sources d'énergie polluantes. Cette disparité a alimenté un débat sur la façon dont les institutions financières et les stratégies de développement devraient maintenir un rôle pour les combustibles fossiles - en particulier le gaz naturel - alors qu'elles cherchent à équilibrer les objectifs d'atténuation du changement climatique et d'accès à ... Lire la suite
Jusqu’à 118 millions de personnes seront, d'ici à 2030, « exposées à la sécheresse, aux inondations et aux chaleurs extrêmes en Afrique, si des mesures adéquates ne sont pas prises », selon l’Organisation météorologique mondiale. Cette situation a d'énormes répercussions sur la sécurité de l'eau à l'avenir, compte tenu de l'augmentation de la population et de la dégradation de l'environnement.
L’alerte est lancée par l’Organisation météorologique mondiale (OMM), à l’occasion de la publication d'un rapport sur l’état du climat en Afrique (2020). « L’Afrique connaît une augmentation de la variabilité météorologique et climatique, qui entraîne des catastrophes écologiques et sociales. D’ici à 2030, on estime que jusqu’à 118 millions de personnes extrêmement pauvres seront exposées à la sécheresse, aux inondations et aux chaleurs ... Lire la suite
Denis Sassou N'Guesso et Félix Tshisekedi ont témoigné, par leur présence, le soutien à l’outil financier initié par la République du Congo et la Fondation Brazzaville en 2016, lors de la COP 22 à Marrakech, au Maroc.
À l’occasion de la 26e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, le pavillon de la Commission Climat du Bassin du Congo a abrité, le 3 novembre, une programmation de la présentation de la structuration financière du Fonds bleu du Bassin du Congo en présence de Denis Sassou N'Guesso, président de la République du Congo, président de la Commission Climat du Bassin du Congo, et son homologue de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, président de l'Union africaine.
Cet outil rassemble à ce jour seize pays de la sous-région et le Maroc. Il a pour objectif de mobiliser les ressources nécessaires au ... Lire la suite
L'Alliance mondiale pour l'énergie au service des populations et de la planète (GEAPP) a lancé, le 2 novembre, lors de la COP 26 à Glasgow, un fonds de dix milliards de dollars pour fournir des énergies renouvelables à un milliard de personnes en Asie, en Afrique et en Amérique latine.
La transition énergétique est l’un des piliers de l’action climatique mondiale. Dans les pays en développement, elle implique une accélération de l’électrification avec des ressources propres. Une cause qui mobilise un nombre croissant d’acteurs, dont les organisations philanthropiques.
Selon Per Heggenes, directeur général de la Fondation Ikea, l'Alliance va s’atteler à lever cent milliards de dollars de capitaux sur une décennie. Ce financement contribuera à éviter quatre milliards de tonnes d'émissions de carbone.
La GEAPP est composée des organisations philanthropiques ... Lire la suite
Au total, douze donateurs financeront le nouveau fonds, estimé à 1,5 milliard de dollars, entre 2021 et 2025.
Démarrée le 31 octobre dernier, la 26e Conférence internationale sur le climat (COP 26), qui se tient actuellement à Glasgow, en Ecosse, livre déjà ses premiers résultats. Le 1er novembre, plusieurs pays ont annoncé la mise en place d’un Fonds de 1,5 milliard de dollars destiné à protéger le bassin du Congo.
S’étendant sur six pays (le Cameroun, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, le Congo, la Guinée équatoriale et le Gabon), le bassin du Congo est considéré comme le deuxième poumon de la planète après l’Amazonie. D’après le World Wild Fund, il nourrit et fournit un abri à 75 millions de personnes depuis plus de cinquante mille ans. Alors que le réchauffement climatique touche de plein fouet les pays africains, ... Lire la suite
Intervenant le 2 novembre en marge de la COP26, dans le cadre du Panel de haut niveau sur les forêts et l’utilisation des terres organisé par le gouvernement britannique, le président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a plaidé pour un soutien plus accru en faveur des pays vulnérables, en particulier ceux d’Afrique, d’Asie ou encore les pays insulaires, lequel pourrait les amener à s’adapter aux impacts du changement climatique.
Plus qu’un cri d’alarme, il s’est agi, pour le chef de l’État congolais, d’une interpellation collective sur la situation du continent africain qui, a-t-il regretté, n’émet que très peu de gaz à effet de serre mais passe pour l’un des continents les plus vulnérables face aux changements, compte-tenu des données climatiques préexistantes, mais également, des réalités ... Lire la suite
Comprendre la science par laquelle on cherche à découvrir les régularités des phénomènes atmosphériques observés et les lois qui les gouvernent nécessite une définition de ses mots et de ses termes.
1,5 degré
Les scientifiques estiment qu'en maintenant l'augmentation de la température moyenne mondiale en dessous de 1,5 degré Celsius, on évitera les pires conséquences du changement climatique.
Par rapport à "l'époque préindustrielle", la planète s'est déjà réchauffée d'environ 1 °C depuis lors.
Changement climatique
Un modèle de changement affectant le climat global ou régional, tel que mesuré par la température moyenne et les précipitations, et la fréquence des événements météorologiques extrêmes tels que les vagues de chaleur ou les fortes pluies.
Cette variation peut être causée à la fois par des processus naturels et par l'homme. Le ... Lire la suite
Une vingtaine de chefs d'État et une trentaine de ministres africains prennent place à Glasgow pour la 26e Conférence des parties des Nations unies sur le changement climatique (COP26). Ils ont exprimé, au cours du sommet, leurs principales revendications, en particulier que se concrétise l'aide promise.
A Glasgow, en Ecosse, des dirigeants africains ont exprimé leurs revendications, notamment la concrétisation de l’aide promise depuis dix ans au continent africain pour qu'il s'adapte au changement climatique. Ils ont défilé devant la tribune pour exprimer leur impatience et proposé des solutions efficaces pour lutter contre la déforestation. Six ans après l’accord de Paris sur le climat (2015), l'Afrique n'a reçu que 70% à 80% des cent milliards de dollars par an promis pour 2020 par les pays riches pour lui permettre de s'adapter aux événements ... Lire la suite